Melissa - Papillon Rose

Moi, c’est Melyssa

Mes origines

Je suis née à Nice, sur la Côte d’Azur, au début de l’été 2010. Ville située entre mer et montagne, j’ai pu profiter depuis toute petite de jolis moments à la montagne et de balades en bord de mer. J’ai 2 ans quand on déménage à Madagascar, dans la capitale, Tananarive.

Ma vie

Quand j’ai commencé à aller à l’école, j’ai remarqué que mes copains se moquaient de mon écriture et de mes dessins, pas toujours compréhensibles. Mes parents m’ont expliqué que c’était parce que j’étais dyspraxique. Etre dyspraxique c’est comme si on te forçait à écrire avec ta main gauche, alors que tu es droitière. C’est épuisant. C’est un peu embêtant, mais ça ne gâche pas ma vie.

J’aime la musique (notre playlist est ici). Mes artistes préférés c’est Shyn (artiste malgache), Soprano, Angelina, et Dadju. D’ailleurs mon premier concert c’était Dadju. Ma meilleure copine s’appelle Laurah, c’était ma voisine. C’est elle qui m’a appris à faire du vélo en 30 minutes. C’est rigolo parce que maman m’a appris à faire du vélo pendant des mois mais elle n’a jamais réussi.

J’aime beaucoup regarder la télé. Je me fais souvent gronder car je n’ai pas le droit de rester trop longtemps. J’aime regarder des émissions de cuisine comme Top Chef, et j’aimerai beaucoup rencontrer Cyril Lignac et Philippe Etchebest. J’adore cuisiner avec ma grand-mère. Ce que je préfère ce sont les frites et les pizzas. J’aime aussi les émissions qui parlent de famille, comme « Maman est célèbre » ou « Familles nombreuses ». J’admire la jolie Cristina Cordula parce que je la trouve très élégante, et j’imite son célèbre « magnifaïke ». Sinon, je suis incollable avec ma maman sur la série « Friends ».

Mes parents disent que je suis quelqu’un de très affectueux, généreux, sensible et aussi assez timide. A la maison, je suis un vrai clown. J’adore imiter les gens et j’ai des amis imaginaires farfelus. Quand je suis avec des personnes que je ne connais pas bien, je préfère observer les gens et rester silencieuse.

J’aime les animaux, particulièrement les papillons et les éléphants. Ce qui est bizarre c’est que je n’ai pas peur des gros mille-pattes ou des caméléons, mais j’ai peur des fourmis.

Mon rêve

Mon plus grand rêve serait de pouvoir aider beaucoup de gens. Quand maman m’a parlé du projet Optimisme Cool, j’ai été intéressée. Elle m’a dit que je pouvais aider des enfants comme moi (qui ont des troubles dys). Je pourrai aussi soutenir des enfants qui ont du mal à croire que chaque jour est un joli cadeau.


Et moi, c’est Elise

Mon histoire

Je suis Elise, 41 ans, fille unique d’une mère célibataire. Je passe mes 18 premières années à Madagascar. C’est une île géante au cœur de l’océan Indien, avec une biodiversité exceptionnelle.

J’ai une scolarité classique dans un système français, avec une éducation centrée sur l’excellence et la valeur travail. Mon baccalauréat en poche, j’ai passé ensuite 12 années en France où je rencontre le père de ma fille.

Je décroche un Master en Management International et j’intègre durant 6 ans un groupe de transport international sur la Côte d’azur.

2010, mon plus grand rêve se réalise : je deviens la maman de l’adorable Melyssa.

2012, nous décidons de revenir au pays et 2 ans plus tard, mes certitudes s’évanouissent. Melyssa est diagnostiquée dyspraxique (trouble de la coordination) et dyslexique. Elle a beaucoup de difficultés scolaires, notamment l’apprentissage de la lecture et de l’écriture. Je découvre sa différence, j’apprends à l’accepter.

2014 à 2019 : On recherche l’accompagnement adapté pour développer le potentiel de Melyssa. On tâtonne entre 4 écoles différentes successives et des rendez-vous multiples : psychologue, orthoptiste, psychomotricien, soutien scolaire à domicile, etc. On se rend compte qu’aucun système ne lui convient. Pire, elle développe une phobie scolaire, entretenue par les moqueries de certains de ses camarades.

Février 2020 : Sa phobie scolaire prend le contrôle de son corps. On se retrouve aux urgences de l’hôpital. C’est le choc, l’école est devenue
toxique pour elle
. On doit trouver rapidement une solution. Mois de Mars, la pandémie de Coronavirus arrive, c’est une pause obligatoire à la maison pour tous.

Comment éduquer ma fille autrement ? 

Comment lui redonner de l’enthousiasme et l’envie d’apprendre ?

Comment la préparer pour le monde de demain ? Si compétitif, si impitoyable…

Comment faire pour qu’elle lâche prise et qu’elle ait confiance en l’avenir ?

Comment faire pour développer son potentiel ? Et lui apprendre à mieux se connaître et à être autonome.

Je parcours le web et je tombe sur des études et des conférences sur les bienfaits de l’optimisme : bien-être mental, meilleure gestion du stress, projection positive dans le futur, meilleure résistance physique, etc.
Bingo ! La solution c’est l’OPTIMISME.

 

2021 : J’entame la lecture d’une demi-douzaine de livres sur l’optimisme et je partage, je teste mes trouvailles avec Melyssa. Il y a des méthodes qui fonctionnent, d’autres non.

2022 : On se dit qu’il faudrait en faire profiter d’autres familles ! C’est la naissance du Blog Optimisme Cool.

Le Blog Optimisme Cool

Notre mission

Nous avons donc créé ce blog avec ma fille, Melyssa, dans un seul but : redonner confiance en la vie et redonner le sourire aux parents et aux enfants qui traversent des zones de turbulences dans leur quotidien. Une attention particulière est donnée aux familles avec des enfants atypiques. 

(Troubles DYS – dyslexie, dyspraxie, etc.-, hypersensibilitéhyperactivitétroubles de l’attention, etc.)

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Découvre vite notre article sur les mini-habitudes du quotidien pour cultiver durablement l’optimisme.