neuro atypique

Être neuroatypique : ce que tu dois absolument savoir

Imaginons que la vie se déroule à travers une lentille unique, teintée de nuances que seule une personne possède. C’est exactement le cas de Melyssa, ma fille, qui voit le monde à travers des lunettes invisibles qui modifient chaque expérience avec une intensité inégalée. Tandis que ses camarades semblent évoluer sans souci, Melyssa ressent chaque instant avec une profondeur exceptionnelle, différente de celle de la majorité.

C’est une autre manière de percevoir le monde, de ressentir chaque émotion, chaque interaction, avec une profondeur et une richesse que seule une personne neuroatypique peut connaître. Ma fille est multi-dys, TDAH (trouble du déficit de l’attention) et hypersensible, elle est neuroatypique.

Être neuroatypique, c’est comme avoir un mode d’emploi particulier pour naviguer dans la vie. Cela signifie que son cerveau fonctionne de manière distincte, amplifiant les détails que d’autres pourraient négliger. C’est une manière particulière de percevoir, de ressentir et d’interagir avec le monde, marquée par une richesse et une intensité uniques.

Dans cet article, je te propose un voyage au cœur de l’univers neuroatypique. Tu découvriras ce que cela signifie vraiment, les différentes manifestations de la neurodivergence, et comment vivre et prospérer dans un monde qui peut parfois sembler peu accueillant. À travers les défis et les forces de personnes comme Melyssa, tu comprendras que, loin d’être une faiblesse, être neuroatypique est une source inestimable de richesse et de perspective.

Comprendre ce qu’est être neuroatypique

Définition « neuroatypique »

Dans notre société, où la norme est définie par la majorité, comprendre la différence entre « neuroatypique » et « neurotypique » est essentiel pour bâtir une communauté plus inclusive.

Être neuroatypique signifie avoir un fonctionnement neurologique différent de celui de la majorité. Voici plus précisément les principaux critères qui les caractérisent :

  • Différences cognitives et perceptives : Les neuroatypiques perçoivent et traitent l’information de manière différente. Par exemple, une personne autiste peut avoir une perception sensorielle accrue ou réduite, tandis qu’une personne avec un trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) peut avoir des difficultés à se concentrer sur une tâche spécifique.
  • Développement hétérogène : Le développement des compétences et des habiletés peut être irrégulier chez les neuroatypiques. Par exemple, un enfant peut être très avancé dans certaines compétences (comme les mathématiques ou la lecture), mais avoir des retards dans d’autres domaines (comme la communication sociale ou la motricité).
  • Fonctionnement social et émotionnel distinct : Les neuroatypiques peuvent avoir des difficultés à comprendre ou à utiliser les codes sociaux conventionnels. Ils peuvent aussi exprimer et réguler leurs émotions différemment, ce qui peut parfois mener à des incompréhensions ou à des malentendus dans les interactions sociales.
  • Styles d’apprentissage spécifiques : Les neuroatypiques ont souvent des méthodes d’apprentissage qui diffèrent des approches traditionnelles. Ils peuvent avoir besoin de supports visuels, de mouvements physiques (comme des fidgets), ou de découpages des tâches en petites étapes pour réussir à assimiler l’information.
  • Résilience et adaptabilité : Malgré les défis auxquels ils sont confrontés, les neuroatypiques développent souvent une grande capacité de résilience. Ils trouvent des stratégies uniques pour s’adapter à leur environnement, que ce soit par des routines spécifiques, des intérêts particuliers ou des talents exceptionnels dans certains domaines.

Ces différences ne sont pas des faiblesses, c’est une autre manière de voir et de vivre le monde. Les neuroatypiques apportent des perspectives nouvelles et souvent inédites dans les discussions, la créativité, et les relations interpersonnelles.

Les différents types de neuro atypies

Les neuroatypies peuvent être classifiées en quatre grandes catégories : les troubles « dys », le Trouble Déficitaire de l’Attention avec ou sans Hyperactivité (TDAH), le Haut Potentiel Intellectuel (HPI), et le Trouble du Spectre de l’Autisme (TSA).

Les troubles Dys

Il existe plusieurs types de troubles « dys », généralement classés en six grandes catégories :

  • Dyslexie : Trouble spécifique de la lecture, affectant la capacité à reconnaître les mots et à les décoder.
  • Dysorthographie : Trouble de l’orthographe, souvent associé à la dyslexie, impactant la capacité à écrire correctement les mots.
  • Dyscalculie : Trouble des apprentissages des mathématiques, affectant la compréhension des nombres et des opérations mathématiques.
  • Dyspraxie : Trouble de la coordination motrice, rendant difficile la planification et l’exécution des gestes.
  • Dysgraphie : Trouble de l’écriture, affectant la qualité et la lisibilité de l’écriture manuscrite.
  • Dysphasie : Trouble du langage oral, impactant la capacité à comprendre et à s’exprimer verbalement.

Ces six troubles « dys » peuvent se manifester de manière isolée ou combinée chez une même personne, ce qui peut complexifier leur diagnostic et la mise en place de stratégies d’accompagnement adaptées.

Ma fille est dyslexique et dyspraxique. Elle a beaucoup de mal pour la lecture. Et lorsqu’elle doit découper un morceau de papier pour un projet scolaire, elle peut passer un temps considérable à essayer de faire une ligne droite, car son cerveau et ses mains ne communiquent pas de la même manière

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Trouble Déficitaire de l’Attention avec ou sans Hyperactivité (TDAH)

Le TDAH est caractérisé par :

  • Inattention : Difficulté à se concentrer sur des tâches.
  • Hyperactivité : Agitation excessive, besoin constant de bouger.
  • Impulsivité : Tendance à agir sans réfléchir.

Lorsqu’elle fait ses devoirs, Melyssa a du mal à se concentrer pendant une longue période. Par exemple, si elle doit résoudre un problème de mathématiques, elle commence souvent à rêvasser ou à jouer avec des objets sur son bureau après seulement quelques minutes. Il lui arrive fréquemment de passer à une autre tâche sans avoir terminé la première, simplement parce qu’elle s’est lassée ou distraite.

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Trouble du Spectre de l’Autisme (TSA)

L’autisme affecte principalement :

  • Communication : Difficultés à comprendre et utiliser le langage.
  • Interactions sociales : Difficulté à nouer et maintenir des relations.
  • Comportements répétitifs et intérêts restreints : Forte attirance pour des routines ou des sujets spécifiques. Le TSA touche environ 1 % de la population mondiale.

Le Haut Potentiel Intellectuel (HPI)

Les personnes à Haut Potentiel Intellectuel (HPI) ont un QI supérieur à la moyenne (généralement au-dessus de 130). Elles peuvent présenter :

  • Précocité intellectuelle : Apprentissage rapide et intérêt pour des concepts complexes.
  • Hypersensibilité : Réactions émotionnelles intenses.
  • Créativité et pensée divergente : Capacité à trouver des solutions innovantes. Environ 2 % de la population est considérée HPI.

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Les symptômes de la neurodivergence

Pour les parents, reconnaître les signes de la neuroatypie chez leur enfant peut être un défi. Les premiers indices sont souvent subtils et peuvent facilement être interprétés comme des « bizarreries » ou des comportements temporaires.

Cependant, ces signes sont importants à observer et à comprendre. Par exemple, Melyssa a toujours été extrêmement sensible aux textures : un simple étiquette sur un vêtement pouvait la mettre dans tous ses états. Alors que d’autres enfants ne remarquent même pas ces étiquettes, pour Melyssa, le moindre frottement contre sa peau était insupportable, provoquant un besoin urgent de retirer le vêtement.

Un autre signe révélateur de sa neuroatypie était son besoin d’ordre et de prévisibilité. Si quelqu’un déplaçait un seul objet de sa chambre, elle le remarquait rapidement et cela pouvait la bouleverser. Ce besoin de routine et de contrôle est souvent un signe de neuroatypie, car il aide l’enfant à gérer un monde qui peut autrement sembler chaotique et imprévisible.

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Le parcours du diagnostic

Les étapes du diagnostic

Obtenir un diagnostic de neuroatypie pour un enfant est souvent un parcours long et complexe, mais c’est une étape cruciale pour mieux comprendre et accompagner son enfant.

Pour Melyssa, ce processus a commencé par une série d’observations faites à la maison et à l’école. Ses difficultés à coordonner ses mouvements et à se concentrer pendant de longues périodes nous ont poussés à consulter notre médecin. Ce dernier a ensuite recommandé une série d’évaluations par une orthophoniste-psychomotricienne, puis ensuite un pédiatre spécialisé en atypies, qui ont permis d’identifier ses spécificités.

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Les évaluations comprenaient des tests de coordination œil-main, des activités de motricité fine, des exercices de concentration et de logiques. Par exemple, Melyssa a dû manipuler de petites perles et les enfiler sur un fil, une tâche qui peut sembler simple, mais qui révélait des difficultés importantes pour elle.

Les émotions des parents

Le diagnostic de neuroatypie est souvent une période de montagnes russes émotionnelles pour les parents. Lorsque Melyssa a été diagnostiquée avec la dyslexie, la dyspraxie et le TDAH, j’ai ressenti un mélange intense de soulagement et d’inquiétude. D’un côté, avoir un nom pour expliquer les difficultés de Melyssa apportait une certaine clarté et une direction à suivre. Mais de l’autre, de nouvelles questions et peurs émergeaient : Comment l’aider à s’épanouir ? Quels défis l’attendent encore ?

Je me rappelle des moments où je me sentais impuissante face aux crises de Melyssa, comme lorsqu’elle se fâchait parce qu’elle n’arrivait pas à découper un simple cercle en papier. Ces souvenirs, bien que douloureux, sont maintenant accompagnés d’une nouvelle compréhension. Ce diagnostic me permet de mieux comprendre les besoins de Melyssa et de chercher des solutions adaptées.

Les défis après le diagnostic

Une fois le diagnostic posé, les parents se retrouvent face à une nouvelle série de défis. L’un des premiers a été de trouver des moyens d’adapter l’environnement de Melyssa pour répondre à ses besoins spécifiques.

Par exemple, à la maison, pour son hypersensibilité, nous avons remplacé les boutons et les fermetures éclair de ses vêtements par des alternatives plus faciles à manipuler, comme des bandes velcro.

À l’école, il a fallu discuter avec les enseignants pour qu’ils comprennent les besoins de Melyssa. Un plan d’accompagnement personnalisé (PAP) a été mis en place, incluant des pauses régulières pendant les cours pour lui permettre de bouger, ainsi que des aides visuelles pour faciliter sa compréhension des consignes. Ces adaptations, bien que modestes en apparence, ont eu un impact énorme sur son bien-être et sa réussite scolaire.

Vivre avec une neuroatypie

Les défis du quotidien

Vivre avec une neuroatypie signifie souvent devoir trouver des solutions créatives à des problèmes que d’autres ne remarquent même pas. Par exemple, le simple fait de se préparer le matin peut être un défi en soi. Pour Melyssa, enfiler ses chaussettes ou attacher ses lacets demande une concentration intense et beaucoup de temps. Nous avons donc rajouté du temps pour la routine de préparation.

Les sorties en extérieur, comme aller au supermarché, peuvent également être complexes. Le bruit des caddies, les lumières fluorescentes, et l’agitation générale du lieu peuvent rapidement submerger Melyssa. Nous avons appris à anticiper ces situations en planifiant les sorties à des heures moins fréquentées.

Socialisation et inclusion

La socialisation est un autre domaine où les neuroatypiques, comme Melyssa, peuvent rencontrer des défis significatifs. Les grandes fêtes de famille, par exemple, qui sont souvent des moments de plaisir et de détente, peuvent être une source d’anxiété pour Melyssa. Le bruit, et l’excitation des autres enfants peuvent être accablants pour elle. Pour faire face à cela, nous lui expliquons à l’avance ce qui va se passer et nous restons près d’elle pour qu’elle puisse s’habituer progressivement à l’environnement.

À l’école, l’intégration sociale peut aussi poser problème. Melyssa a parfois du mal à comprendre les codes sociaux implicites, ce qui peut la mettre en difficulté dans ses interactions avec les autres enfants. Par exemple, elle peut ne pas saisir les nuances du jeu collectif ou mal interpréter les intentions de ses camarades, ce qui peut la rendre vulnérable aux malentendus ou à l’isolement.

Pour l’aider à surmonter ces défis, nous lui apprenons par le biais de jeux de rôle et de discussions, comment reconnaître les signaux sociaux, comme les expressions faciales ou le ton de la voix, et comment réagir de manière appropriée.

La force des neuroatypiques

Une créativité unique

L’une des plus grandes forces de Melyssa est sa créativité débordante, qui se manifeste de manière étonnante chaque jour.

Par exemple, Melyssa a créé un mandala où chaque courbe était d’une couleur différente, et elle avait rajouté une collection de motifs uniques à l’intérieur du cercle. Cette imagination florissante est une force qui lui permet de voir le monde sous des angles que d’autres ne peuvent même pas concevoir. Nous encourageons cette créativité en lui fournissant des outils variés, comme des peintures, des feutres, des carnets de dessin, pour qu’elle puisse explorer et exprimer son univers intérieur sans limite.

Une pensée originale

Melyssa possède également une capacité de pensée originale qui lui permet de résoudre des problèmes de manière inventive. Alors que d’autres pourraient suivre les méthodes traditionnelles, Melyssa voit les choses différemment. Par exemple, lorsqu’elle construit des tours avec des blocs, elle ne suit pas les instructions conventionnelles ; elle préfère expérimenter avec des formes et des angles inattendus, créant ainsi des structures surprenantes qui défient les lois de la gravité.

Résilience et persévérance

Les défis auxquels Melyssa fait face au quotidien ont forgé en elle une résilience et une persévérance remarquables. Par exemple, bien que la dyspraxie rende certaines tâches physiques difficiles pour elle, comme l’apprentissage du vélo, Melyssa a refusé de renoncer. Après de nombreuses chutes et des moments de découragement, elle a finalement réussi à pédaler sans aide, une victoire qui a été célébrée avec enthousiasme!

Cette résilience se reflète également dans sa manière d’aborder les défis scolaires. Même lorsque les tâches sont ardues, Melyssa persévère avec une détermination inébranlable. Si elle échoue une première fois, elle recommence, encore et encore, jusqu’à ce qu’elle réussisse.

Vers une société inclusive

L’importance de l’inclusion

L’inclusion des neuroatypiques est essentielle pour bâtir une société véritablement équitable et diversifiée. En reconnaissant et en valorisant les différences neurologiques, nous créons des environnements où chacun peut s’épanouir selon ses propres forces et besoins.

Cette inclusion favorise non seulement le bien-être des individus neuroatypiques, mais enrichit également notre collectivité en apportant des perspectives uniques et innovantes. En adoptant des pratiques inclusives, nous contribuons à déconstruire les préjugés et à promouvoir une culture de respect et d’acceptation, essentielle pour un avenir où chacun, quelle que soit sa différence, a sa place et peut contribuer pleinement à la société.

A lire aussi : Inclusion des neuroatypiques dans l’éducation et l’emploi

Témoignages et récits de vie

S’inspirer des parcours d’autres parents ou enfants neuroatypiques est crucial pour enrichir notre compréhension et notre approche. Ces expériences partagées offrent des perspectives précieuses, des stratégies éprouvées et des sources de réassurance. Elles aident à éviter l’isolement, à trouver des solutions adaptées aux défis spécifiques, et à renforcer la confiance en notre propre capacité à soutenir et à valoriser les talents uniques de nos enfants.

Je t’invite à découvrir 3 témoignages poignants :

Tom, écrivain dyspraxique

Tom, dyspraxique visuo-spatial, partage son expérience poignante dans son autobiographie Une notion de temps. Grâce à ses révélations, j’ai compris la complexité de la dyspraxie visuo-spatiale et appris à mieux soutenir ma fille.

Tom explique la difficulté de coordination, les défis émotionnels et sociaux, et propose des stratégies pour aider les enfants dyspraxiques, comme des consignes claires et des pauses régulières. Son témoignage, enrichi par des conseils pratiques et des phrases inspirantes, offre une perspective précieuse aux parents.

Hélène, psychologue et mère de Morgane, Asperger

Hélène, psychologue et mère de Morgane, découvre que sa fille a le syndrome d’Asperger après un bilan neuropsychologique, révélant des troubles attentionnels et une hypersensibilité sensorielle.

L’annonce du diagnostic est un choc, mais elle permet à Hélène de mieux comprendre et accompagner Morgane. Grâce à des ajustements éducatifs et à une approche empathique, la famille adapte son quotidien, favorise les qualités uniques de Morgane et améliore ses interactions sociales et familiales.

Stéphanie, coach spécialisée en hypersensibilité

Stéphanie, ancienne professeure et désormais coach spécialisée en hypersensibilité, partage son parcours de découverte et d’acceptation de ses propres atypies.

Avec une carrière de 20 ans en éducation, elle a reconnu ses hypersensibilités, troubles du spectre autistique, haut potentiel intellectuel et TDAH après le diagnostic de son aîné. Aujourd’hui, elle aide les femmes hypersensibles à optimiser leur quotidien, à gérer la fatigue et à trouver l’équilibre tout en découvrant les aspects joyeux de leur vie atypique.

Conclusion

Être neuroatypique est avant tout une question de différences dans la manière dont le cerveau fonctionne. Ce n’est pas une faiblesse, mais une variété unique dans le traitement de l’information et la perception du monde. Les personnes neuroatypiques, qu’il s’agisse de troubles du spectre autistique, de TDAH, de troubles « dys » ou d’un haut potentiel intellectuel, possèdent des modes de pensée et de fonctionnement qui enrichissent la diversité humaine.

Les neuroatypiques peuvent vivre les défis quotidiens avec une intensité différente : une sensibilité accrue aux stimuli, des difficultés d’organisation ou des besoins particuliers en matière d’apprentissage. Par exemple, Melyssa, qui est TDAH, multi-dys et hypersensible, illustre comment ces caractéristiques peuvent influencer les interactions et les apprentissages quotidiens. Bien que ces défis puissent poser des difficultés, ils apportent aussi des perspectives novatrices, une créativité débordante et une résilience remarquable.

La clé est d’adopter une approche inclusive, en fournissant des adaptations et en valorisant les différences comme des atouts. En comprenant et en soutenant les individus neuroatypiques, nous contribuons à une société plus riche et plus équitable, où chaque personne, comme Melyssa, peut s’épanouir et apporter sa pierre à l’édifice collectif.

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