Franck Gastambide : ses 3 secrets pour transformer ses troubles dys en force
Quand Melyssa rentre de l’école, découragée par des notes qu’elle qualifie elle-même de « catastrophiques », mon cœur se serre. Je vois bien que chaque mauvaise note l’éloigne un peu plus de cette étincelle, ce feu intérieur qui l’anime quand elle fait ce qu’elle aime vraiment. Alors, je lui rappelle que ses notes ne définissent pas qui elle est.
Pour l’aider à retrouver confiance, je me plonge dans des histoires de vie inspirantes, des récits de personnes neuroatypiques qui ont surmonté des défis similaires.
C’est ainsi que j’ai découvert Franck Gastambide. Son parcours m’a fasciné. Multi-dys et peu enclin aux réussites scolaires, il a pourtant trouvé sa voie en se reconnectant à ses passions et en développant des compétences bien au-delà des salles de classe. Il est aujourd’hui l’un des réalisateurs emblématiques de la nouvelle génération en France.
Le 8 novembre, il revient sur Netflix avec La Cage, sa nouvelle série. Composée de cinq épisodes, la série plonge dans l’univers du MMA et suit le parcours d’un jeune combattant déterminé à passer professionnel. Cependant, il doit surmonter plusieurs handicaps invisibles, notamment la dyslexie et la dyspraxie, des troubles que le réalisateur connaît également. Décryptons ensemble le parcours de Franck.
- 1/ Secret N°1 : Comment Franck Gastambide a surmonté la dyslexie et développé des compétences alternatives?
- 2/ Secret N°2 : L’importance des mentors pour Franck Gastambide
- 3/ Secret N°3 : Parler de sa dyslexie pour briser le silence
- 4/ Transmettre et redonner : l’héritage de résilience de Franck Gastambide
- Conclusion
1/ Secret N°1 : Comment Franck Gastambide a surmonté la dyslexie et développé des compétences alternatives?
Transformer la dyslexie en force pour tracer un chemin unique
Les troubles dys, dont la dyslexie, on les connaît bien : ils freinent, ils posent des barrières, ils font douter.
Mais pour Franck Gastambide, la dyslexie a été une boussole, une force, un moteur. Dès son plus jeune âge, Franck a compris qu’il ne correspondait pas aux attentes académiques. Les difficultés en lecture et en écriture pesaient lourd, surtout dans un monde scolaire qui valorise les mots et les notes. Franck est dyslexique, mais pas seulement. Il a précisé :
« Si seulement, je n’étais que dyslexique. Mais j’étais ce qu’on appelle « multi dys », donc je suis dyslexique, je suis dysorthographique et je suis dyscalculique. J’ai des problèmes pour l’orthographe, j’ai des problèmes pour les mathématiques, les chiffres, le calcul, etc. » Et d’ajouter : « Et je suis aussi dyspraxique : c’est le trouble de l’apprentissage, qui a des conséquences même pour le jeu. »
Il se souvient d’avoir entendu la phrase « Que va-t-on faire de lui ? » de la part de ses professeurs, mais aussi de sa propre mère, inquiète pour son avenir.
Être toujours perçu comme le « dernier de la classe » a laissé des traces profondes en lui, nourrissant un manque de confiance en soi qui aurait pu le briser. Grandir dans ce regard déçu a forgé un sentiment d’infériorité, où la réussite scolaire semblait être la seule mesure de sa valeur.
Face à ces défis, il aurait pu se laisser décourager, penser qu’il n’avait pas sa place. Mais Franck a choisi un autre chemin. Il a décidé de se concentrer sur ce qui l’animait vraiment, sur ses propres forces, en dehors des exigences scolaires. C’est là que son parcours unique commence.
Plutôt que de se plier aux méthodes d’apprentissage traditionnelles, il a suivi son propre rythme et a appris à sa manière.
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La passion de Franck Gastambide pour le dressage de chiens : un tournant décisif
Franck découvre sa passion pour les chiens à 13 ans, lors d’une rencontre marquante avec un rottweiler, Bilbo, chien de la police municipale de sa ville. Il se sent vite à l’aise avec cet animal qui, à l’inverse des humains, ne le juge pas.
Tous les jours, il passe voir Bilbo et finit par devenir ami avec le maître du chien. Cette relation le pousse à faire son premier stage auprès de ce policier, où il découvre la joie de communiquer avec les chiens.
Durant des années, Franck consacre tout son temps libre à l’apprentissage du dressage. Il se passionne pour le comportement animal et apprend les méthodes pour obtenir une obéissance amicale et instinctive. À 18 ans, il reçoit son propre chien, Lord, un rottweiler offert par sa mère.
Ce duo devient inséparable, et Lord devient un partenaire de travail. Ce sont les compétences de Franck en dressage qui lui ouvrent les portes du cinéma, où il est embauché pour dresser des chiens pour des scènes de films, dont Les Rivières Pourpres. Cette expérience de dresseur marque le point de départ de son parcours.
Sa dyslexie, qui l’avait parfois isolé, devenait un atout : elle affinait son instinct, cette intuition qu’il a su cultiver et qui l’a guidé dans cette voie atypique. Il n’a pas seulement appris à dresser des animaux ; il a découvert un talent unique pour communiquer avec eux, une compétence rare qui l’a distingué.
Grâce à cette passion, Franck s’est retrouvé sur les plateaux de cinéma, où ses compétences de dresseur étaient recherchées. Là, il a découvert un univers où tout bouge, tout s’invente, et où les qualités que la dyslexie avait développées en lui – la persévérance, l’adaptation, et une créativité débordante – pouvaient s’exprimer librement.
La dyslexie devient un tremplin : Franck Gastambide a trouvé sa voie grâce à l’autodidaxie et la résilience
Contrairement aux autres, qui suivaient des parcours académiques, il apprenait en temps réel, en observant et en faisant. Sur les plateaux, il n’y avait pas de tests ou de contrôles, il fallait être capable de gérer, d’improviser, de trouver des solutions. Et ça, Franck savait le faire.
Petit à petit, il a découvert qu’il pouvait transformer ce qui semblait un handicap en tremplin. L’univers du cinéma lui offrait un cadre où son autodidaxie et sa résilience devenaient des forces. Avec chaque projet, il renforçait son expertise, il bâtissait sa vision, il explorait des compétences bien au-delà de ce que les manuels scolaires auraient pu lui enseigner. C’est ainsi qu’il a trouvé sa propre voie, celle qui lui permettait de briller en s’appuyant sur ses talents naturels.
En plus de développer des compétences inattendues pour compenser sa dyslexie, Franck a également su s’entourer des bonnes personnes au bon moment, transformant chaque rencontre en levier pour sa carrière.
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2/ Secret N°2 : L’importance des mentors pour Franck Gastambide
Les rencontres marquantes de Franck Gastambide, véritables tournants dans son parcours, sont des moments d’étoiles alignées où chaque connexion a joué un rôle décisif pour le propulser vers ses rêves.
Frédéric Chovino, expert en dressage de chiens
La première de ces rencontres, celle avec Frédéric Chovino, expert en dressage de chiens, l’a introduit dans un univers auquel il n’aurait jamais pensé.
Travailler avec les animaux pour le cinéma lui ouvre une porte inattendue vers cet art, une immersion qui, sans le savoir, le prépare à ses prochains grands pas.
Mathieu Kassovitz, dans Les Rivières Pourpres
Son travail avec Mathieu Kassovitz, dans Les Rivières Pourpres, lui permet alors de faire la connaissance de talents du collectif Kourtrajmé comme Kim Chapiron et Romain Gavras. Ces derniers, déjà dotés d’une vision audacieuse et innovante, lui montrent ce qu’il est possible de réaliser avec peu de moyens mais beaucoup de passion et de créativité.
Les frères Altmayer et Franck Gastambide : une collaboration décisive pour le cinéma
La rencontre la plus bouleversante est celle avec les frères Altmayer, Nicolas et Éric. C’est dans une petite brasserie de Paris que tout s’accélère. Franck, avec ses complexes de « gars de Melun », se demande comment des producteurs aussi reconnus pourraient croire en lui.
Mais les frères Altmayer voient au-delà de ses doutes. Ils lui proposent d’adapter sa websérie Kaïra Shopping en un film.
Leur vision et leur confiance lui donnent les ailes dont il avait besoin pour se lancer, pour croire en ses propres capacités malgré son bagage modeste. Avec eux, il développe une relation forte, presque familiale, où il trouve non seulement des mentors mais de véritables alliés qui l’encouragent dans chaque étape de sa carrière.
Luc Besson et Franck Gastambide : quand un géant du cinéma soutient un talent atypique
Enfin, la rencontre avec Luc Besson, ce géant du cinéma, marque un passage vers un niveau de production encore plus ambitieux avec Taxi 5. Cette collaboration est pour lui un moment magique, où la reconnaissance et le soutien de Besson renforcent sa légitimité dans le cinéma grand public.
Ces mentors, chacun à leur manière, ont su capter le potentiel de Franck et l’ont accompagné dans sa transformation de « Franck des chiens » en créateur de succès cinématographiques. Ces rencontres illustrent un parcours où chaque étape, chaque lien, l’a fait grandir et croire un peu plus en son rêve d’adolescent.
Après avoir été soutenu par ces figures marquantes, Franck a compris l’importance de se révéler entièrement, y compris ses vulnérabilités, pour aider ceux qui traversent des épreuves similaires.
3/ Secret N°3 : Parler de sa dyslexie pour briser le silence
Plutôt que de vivre sa dyslexie en silence, Franck a choisi d’en parler, de l’assumer, et de transformer son histoire en message d’espoir pour les autres. Pour lui, partager ses difficultés, c’est casser ce silence pesant, libérer la parole et donner à d’autres le courage de faire de même.
Parler de la dyslexie : un acte de liberté
Quand Franck a commencé à évoquer sa dyslexie lors d’une interview, il ne cherchait pas de pitié ni de reconnaissance. C’était un acte d’honnêteté envers lui-même. En disant tout haut ce qu’il vivait, il se libérait du poids de ce qui, pour beaucoup, reste caché.
C’est après cette interview que tout a changé. « J’ai reçu des centaines de messages d’enfants et de parents qui ne savaient pas trop comment s’y prendre ». Il a ajouté : » Voilà pourquoi j’ai décidé d’en parler. J’aurais aimé, moi, qu’on me dise que je ne suis pas un imbécile, que je trouverai un domaine dans lequel je serai bon et que je m’épanouirai dans autre chose que l’école. «
Mais ce qui l’a touché par-dessus tout, c’est de voir l’impact que ses paroles pouvaient avoir. En partageant ses épreuves, il tendait la main à ceux qui se retrouvaient dans ses difficultés.
Chacun de ses mots devenait un écho pour ces enfants, ces parents, ces adultes dyslexiques qui ont souvent l’impression d’être seuls. « Tu n’es pas seul(e), » leur dit-il. « Tu n’es pas défini(e) par ta dyslexie. » Ce message résonne pour tous ceux qui en avaient besoin.
Briser le tabou des troubles dys et redonner espoir
La dyslexie reste souvent un sujet mal compris. Pour beaucoup, elle est associée à l’échec scolaire, aux « mauvais élèves », et ce tabou rend la vie difficile à ceux qui en souffrent.
Franck le sait bien : enfant, il a souvent été catalogué comme « pas à la hauteur », alors qu’en réalité, il avait des talents insoupçonnés qui n’entraient tout simplement pas dans le moule académique. Il est « capable de réaliser des films à 20 millions d’euros mais pas de jouer aux cartes ». « La liste des choses que je ne peux pas faire et pour lesquelles je me sens totalement humilié et ridiculisé est longue ».
En parlant de son handicap, il brise ces préjugés. Il montre que la dyslexie n’est pas un défaut de capacité, mais une différence de parcours.
Là où certains pourraient la percevoir comme un obstacle, lui la transforme en atout. Il raconte ses expériences sans détour, parle de ses échecs, de ses réussites, et change ainsi la perception de la dyslexie dans les yeux de ceux qui l’écoutent. Il invite chacun à voir au-delà des difficultés et à valoriser ce que les dyslexiques peuvent apporter au monde.
Inspirer les parents et les enfants à trouver leur force
Pour Franck, partager son histoire, c’est aussi offrir un soutien inestimable aux parents qui, parfois, se sentent perdus face à la dyslexie de leur enfant. En racontant son parcours, il leur rappelle que la dyslexie n’est pas un frein définitif, mais une autre façon de vivre, d’apprendre et de réussir. Il les encourage à accompagner leurs enfants dans leurs talents propres, à les voir comme des êtres uniques capables de s’épanouir à leur manière.
Pour les enfants, son message est encore plus fort. Ils voient en lui un adulte qui, malgré la dyslexie, a construit une vie inspirante et authentique. Franck leur donne le courage de s’accepter, de rêver en grand, de croire en leur potentiel.
Changer les mentalités : un pas vers un monde plus ouvert
Quand Franck Gastambide parle de sa dyslexie, il ne fait pas qu’exprimer son vécu. Il contribue à changer les mentalités, à faire évoluer les regards. Chaque témoignage est un rappel que les parcours sont divers et que chaque différence a sa place dans notre société. En brisant le silence sur la dyslexie, il permet à d’autres d’assumer leur parcours, de parler de leur propre histoire et de trouver du soutien.
Tu peux le retrouver dans cette longue interview où il partage son parcours, ses échecs, sa vulnérabilité et ses succès.
4/ Transmettre et redonner : l’héritage de résilience de Franck Gastambide
Encourager la jeune génération à croire en ses rêves
Franck Gastambide a lui-même connu le poids des étiquettes et des doutes.
À travers son parcours, il veut montrer aux jeunes que chaque épreuve peut devenir une force, chaque difficulté, une étape vers un accomplissement unique.
Il les invite à ne jamais lâcher leurs passions, à persévérer malgré les regards sceptiques.
Pour lui, rien ne remplace l’élan intérieur qui pousse à rêver grand, même quand la réalité semble dire le contraire. Avec des mots inspirants et un sourire complice, Franck leur rappelle qu’on n’est jamais trop petit pour se lancer dans un grand rêve. Son message est clair : leur potentiel est immense, et chaque pas, même timide, peut les mener bien plus loin qu’ils ne l’imaginent.
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Partager des clés de réussite : de la vulnérabilité à la force
Longtemps, Franck a vu sa dyslexie comme un poids, une limite infranchissable. Aujourd’hui, il choisit de transformer cette vulnérabilité en un témoignage vibrant pour aider ceux qui doutent.
En partageant son histoire et ses astuces, il dévoile comment chaque défi surmonté est une brique qui construit la confiance en soi.
Il explique que le succès ne réside pas dans la perfection, mais dans la capacité à avancer, même en trébuchant. Franck encourage à trouver ses propres talents, à s’appuyer sur ce qui nous rend unique. Ce qu’il veut transmettre, c’est que nos particularités, loin d’être des faiblesses, sont des leviers pour réussir et se démarquer.
Soutenir ceux qui doutent : l’importance de la communauté et de l’entraide
Franck sait combien le soutien compte, surtout quand on se sent en marge. C’est pourquoi il œuvre pour créer une communauté où chacun peut trouver du réconfort et de la force. Il sait que partager, c’est libérer, et il encourage à oser se rapprocher des autres.
Que ce soit à travers des collaborations, des rencontres ou des témoignages, Franck crée des ponts entre les parcours atypiques, convaincu que le succès est encore plus beau quand il est partagé.
Pour lui, chaque réussite collective est une victoire pour tous.
Conclusion
Quand Melyssa revient de l’école avec ce regard découragé, j’y vois non seulement ses peurs, mais aussi l’espoir fragile d’un avenir qui lui ressemble. En partageant avec elle l’histoire de Franck Gastambide, j’espère qu’elle comprendra que ses défis actuels peuvent devenir des forces insoupçonnées.
Comme Franck, elle peut transformer chaque obstacle en opportunité, chaque différence en atout unique.
Je veux que Melyssa sache qu’au-delà des notes et des évaluations scolaires, il y a un monde où ses talents et ses passions seront ses meilleurs alliés.
Franck, en suivant sa propre voie, a démontré que la réussite ne tient pas dans une case ou dans une note, mais dans la capacité à écouter cette voix intérieure qui nous guide vers nos rêves.
Alors, même si le chemin est difficile, je suis là pour lui rappeler qu’elle est bien plus que des chiffres ou des jugements extérieurs. Elle mérite de croire en son potentiel, tout comme Franck l’a fait.
À travers ses passions et ses dons uniques, Melyssa peut construire un avenir qui lui ressemble, où chaque défi surmonté la rapprochera de la personne qu’elle aspire à devenir.
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C’est très inspirant. En effet, tout est possible. L’important à mon sens, maman d’enfant DYS c’est d’accompagner son enfant à garder confiance en lui pour persévérer. Le bon pilier de la réussite même avec des notes pas aux rdv, comme a su le faire Franck G.
Merci pour ton retour si positif ! 🌟 Tu as tout à fait raison : la confiance en soi est un pilier essentiel, surtout pour nos enfants DYS. Leur parcours est souvent semé d’embûches, mais avec un accompagnement bienveillant et motivant, ils apprennent à transformer chaque défi en opportunité.
Merci pour cet article tres intéressant. L’histoire de Franck Gastambide est inspirante et tes conseils profigués, une belle source de réconfort, de motivation et de résilience pour les personnes atypiques.
Merci pour ton message qui fait chaud au cœur ! 💛 L’histoire de Franck Gastambide montre qu’on peut transformer ses différences en véritables forces. C’est exactement ce que je souhaite transmettre à travers ces conseils : donner aux personnes atypiques, et à leurs proches, les clés pour avancer avec confiance.
Merci pour cet article inspirant sur Franck Gastambide et sa manière de transformer ses troubles dys en atouts. Son parcours démontre que les difficultés peuvent devenir des forces lorsqu’on les accepte et les utilise à bon escient. C’est une belle leçon de résilience et de détermination.
Merci beaucoup pour ton retour. Franck Gastambide est en effet un bel exemple de résilience. Son parcours montre que l’acceptation de soi peut être un véritable moteur pour transformer ses défis en opportunités.
Merci pour cet article qui démontre encore une fois que nos faiblesses sont nos forces et que nous sommes tous différents. A quand une société qui prendra en compte ces différences surtout dans l’apprentissage. tres beau parcours et super inspirant
Merci pour ton commentaire. Tu as tout à fait raison, nos différences devraient être vues comme des richesses, surtout dans le domaine de l’apprentissage.
Cet article sur Franck Gastambide et sa manière de transformer ses troubles « dys » en forces est profondément inspirant. Tu metse n lumière son parcours atypique, illustrant comment il a su surmonter des défis pour exceller. Chaque difficulté peut devenir une opportunité de croissance. Merci pour ce partage enrichissant qui encourage à voir au-delà des limitations et à embrasser pleinement son potentiel.