loi de l'attraction

Loi de l’attraction : comment l’utiliser pour accompagner ton enfant neuroatypique ?

Il y a quelques années, je suis tombée sur le film Le Secret de Rhonda Byrne, un documentaire qui parle de la loi de l’attraction.

J’ai été fascinée par cette idée : nos pensées auraient le pouvoir d’attirer ce que nous vivons. À l’époque, j’étais une maman épuisée, perdue face aux défis du quotidien avec Melyssa, ma fille multi-dys et TDAH. Les crises, les difficultés scolaires, le regard des autres… tout semblait compliqué, et je ne voyais plus que les problèmes.

Je me suis dit : « Et si j’essayais ? ». Et là, j’ai fait l’erreur que beaucoup font : je croyais qu’il suffisait de vouloir quelque chose très fort pour que ça se produise.

Je me répétais : « Je veux que tout soit plus calme, je veux que ça s’arrange. » Mais rien ne changeait. Au contraire, plus je voulais que les crises disparaissent, plus elles semblaient s’intensifier.

C’est alors que j’ai compris quelque chose d’essentiel : la loi de l’attraction ne fonctionne pas par ce que tu souhaites, mais par ce que tu incarnes. Vouloir la sérénité pour ma fille ne servait à rien si, à l’intérieur, j’étais stressée, impatiente ou remplie de doutes. Si je voulais que les choses changent pour elle, je devais changer moi-même.

Cet article, c’est le fruit de ce parcours. Je vais t’expliquer comment, en ajustant mon état d’esprit, mes actions et mon regard, j’ai vu des transformations réelles dans ma vie de maman. Car tout commence par toi, par ce que tu es, et ce que tu offres au monde.

Qu’est-ce que la loi de l’attraction ?

Ce que tu es attire ce que tu vis

La loi de l’attraction repose sur un principe simple, mais puissant : ton état d’être attire ce que tu vis. Autrement dit, ce que tu ressens profondément influence ton comportement, ton regard et même les réactions de ton enfant. Si tu es stressée, impatiente ou pleine de doutes, ton enfant le ressent et son comportement s’ajuste inconsciemment à cette énergie.

Nos enfants atypiques, plus encore que les autres, sont de véritables miroirs émotionnels. Ils absorbent tout. Si tu es sereine, tu lui donnes une chance d’apprendre à s’apaiser.

Si tu choisis de cultiver un regard optimiste, tu lui ouvres la voie pour voir ses défis comme des opportunités de grandir.

À ce stade, tu pourrais te demander : “Mais est-ce vraiment prouvé ?” 3 auteurs ont fait des recherches approfondies sur le sujet et j’ai suivi attentivement leurs conférences et ouvrages.

La loi de l’attraction : ce que Rhonda Byrne, Bob Proctor et Joe Dispenza m’ont appris

Rhonda Byrne : poser une intention pour changer ton quotidien

Quand j’ai découvert Le Secret de Rhonda Byrne, j’ai compris un principe clé : tu attires ce que tu ressens et vibres. Byrne explique que tout commence par l’intention.

Chaque matin, j’ai pris quelques minutes pour visualiser des journées sereines avec Melyssa, où nous avancions ensemble dans le calme. Rien que cette petite pratique changeait mon état d’esprit : j’étais plus posée, plus disponible.

Byrne m’a appris que le simple fait de ressentir ce que tu veux vivre te permet de créer un climat propice au changement.

Bob Proctor : reprogrammer tes croyances pour avancer

Mais malgré mes efforts, quelque chose résistait encore. C’est Bob Proctor qui m’a ouvert les yeux : tes croyances inconscientes dirigent ta vie. Je croyais que je n’étais pas assez patiente ou que les crises de Melyssa étaient inévitables.

Proctor parle de paradigmes, ces schémas mentaux qu’il faut transformer pour avancer. Alors j’ai remplacé « Je n’y arriverai pas » par « Je peux apprendre à rester calme. » En changeant ces croyances profondes, j’ai commencé à agir différemment, et Melyssa a réagi à ce nouvel état d’esprit.

Je conseille vivement cet article pour approfondir le sujet : Croyances limitantes : 3 étapes pour retrouver confiance et devenir un parent optimiste

Joe Dispenza : aligner ton esprit et ton corps pour créer le changement

Enfin, Joe Dispenza m’a apporté une explication scientifique : nos pensées et émotions modifient notre cerveau grâce à la neuroplasticité.

Chaque fois que je sentais la colère ou la frustration monter, je m’arrêtais, je respirais et me demandais : « Quel état d’esprit veux-je transmettre à Melyssa ? ». En ressentant consciemment du calme et de la gratitude, j’ai vu les tempêtes s’apaiser petit à petit.

Ces trois auteurs m’ont appris une chose essentielle : ce n’est pas ce que je veux qui compte, c’est ce que je suis. Si je veux que Melyssa grandisse avec confiance, je dois être calme, alignée et positive. Mais avant de comprendre cela, j’ai fais plusieurs erreurs sur la loi de l’attraction.

Les 4 erreurs principales sur la loi de l’attraction

Erreur 1 : Croire que la loi de l’attraction, c’est uniquement « vouloir quelque chose »

L’erreur la plus fréquente est de penser que désirer fortement un résultat suffit pour qu’il se manifeste. En réalité, la loi de l’attraction repose sur ce que tu es, pas sur ce que tu veux.

Si tu veux de la sérénité dans ton quotidien avec ton enfant, mais que tu es intérieurement stressée, ton énergie contredit ton intention. La loi de l’attraction est un travail d’alignement intérieur : aligner tes pensées, ton ressenti et tes comportements pour attirer ce qui te correspond vraiment.

Une autre idée reçue très répandue, c’est de croire que tout cela relève de la magie. Or, la loi de l’attraction demande bien plus qu’un simple vœu.

Erreur 2 : Penser que c’est « magique » et passif

La loi de l’attraction n’a rien de magique. Il ne suffit pas d’écrire une liste de souhaits ou de visualiser une situation idéale pour qu’elle devienne réalité. L’action est indispensable.

Si tu souhaites que ton enfant soit plus calme lors des devoirs, visualiser une scène sereine est une première étape, mais tu dois aussi créer un environnement adapté (moment d’ancrage, pauses, soutien).

La loi de l’attraction fonctionne parce qu’elle t’encourage à agir différemment, avec une intention claire et alignée.

En voulant appliquer ce principe, certains tombent dans un autre extrême : nier les défis du quotidien. Pourtant, reconnaître les obstacles est essentiel pour avancer.

Erreur 3 : Ne voir que le positif en ignorant les défis

Certaines personnes pensent qu’appliquer la loi de l’attraction signifie nier les difficultés et « tout voir en rose ». Mais fuir les problèmes ne les résout pas.

Exemple : Si ton enfant rencontre des difficultés d’apprentissage, nier ces défis serait contre-productif. Au contraire, reconnais-les avec bienveillance tout en disant : « C’est difficile, mais on va trouver des outils pour t’aider. »

La gratitude et l’optimisme ne sont pas des dénis de la réalité. Ils sont une posture qui permet de chercher des solutions sans se laisser submerger.

Enfin, une dernière erreur courante : abandonner trop vite en cas d’échec. Mais comme tout apprentissage, la loi de l’attraction demande de la patience et de la persévérance.

Erreur 4 : Penser que l’échec signifie que ça ne fonctionne pas

Lorsque les résultats ne sont pas immédiats, on peut croire que la loi de l’attraction ne « fonctionne pas ». Or, le changement demande du temps et de la cohérence.

Si tu travailles ton calme, mais que ton enfant continue à avoir des crises, cela ne signifie pas que tes efforts sont vains. Petit à petit, ton état d’esprit influence son comportement. La persévérance est essentielle.

L’échec est une étape, pas une finalité. Chaque ajustement, chaque effort est une graine semée pour l’avenir.

Maintenant que tu as identifier les erreurs courantes qui empêchent de l’appliquer efficacement, tu te demandes sûrement : « Comment faire concrètement pour que ça fonctionne dans mon quotidien avec mon enfant ? ».

Tu connais maintenant les erreurs à éviter, passons aux solutions concrètes. Parce que la théorie, c’est bien, mais c’est dans les actions quotidiennes que tout se joue.

3 étapes concrètes pour appliquer la loi de l’attraction au quotidien

Clarifie tes intentions

La première étape, c’est de savoir ce que tu veux vraiment.

Au lieu de te dire : « Je ne veux plus de crises », formule une intention positive et claire : « Je veux que nos devoirs soient un moment serein et fluide. »

Pourquoi ? Parce que ton cerveau ne comprend pas la négation.

En disant « pas de crises », il se concentre… sur la crise. Prends un moment chaque matin pour te poser cette question : « Quelle expérience positive je veux vivre aujourd’hui ? ».

Une fois que ton intention est claire, il est temps de la renforcer en visualisant le résultat que tu souhaites. C’est une étape clé pour préparer ton esprit à accueillir ce changement.

Visualise le résultat positif

Une fois ton intention posée, prends 5 minutes pour imaginer le scénario idéal. Visualise-toi calme et patiente face aux devoirs, ton enfant concentré et souriant.

Ressens cette sérénité.

Ton cerveau ne fait pas la différence entre une image imaginée et la réalité.

Cette pratique simple crée une énergie positive qui influence ton comportement. La visualisation te met sur la bonne voie, mais sans action, rien ne bouge. C’est le moment de passer à l’action, en alignant ton comportement avec ton intention.

Passe à l’action avec optimisme

La loi de l’attraction, ce n’est pas de la magie. Il faut agir en cohérence avec tes pensées.

Prépare un environnement calme pour les devoirs, coupe les distractions, et surtout, adopte une posture bienveillante et encourageante. Crois en ton enfant.

Dis-lui : « Je sais que tu peux y arriver, je suis là pour t’aider. » En te concentrant sur ses progrès, même petits, tu renforces sa confiance et la tienne.

Ces trois étapes sont simples, mais puissantes. Plus tu les pratiques, plus elles deviendront naturelles. Crois-moi, ton quotidien va se transformer

Pour que ces étapes prennent tout leur sens, il est essentiel de les incarner au quotidien. Car ton attitude, ton regard et ton énergie sont les véritables leviers de transformation pour ton enfant. Voici comment je les ai appliqué jour après jour.

Comment incarner la loi de l’attraction au quotidien ?

Cultive ton calme intérieur : deviens son ancre émotionnelle

Nos enfants atypiques perdent souvent pied face aux imprévus, aux frustrations ou aux tempêtes émotionnelles. Ils ont besoin d’un adulte stable, une ancre à laquelle se raccrocher.

Si tu restes calme, même quand la situation semble incontrôlable, tu lui offres une stabilité précieuse.

Pratique simple : quand une crise survient, prends une pause. Respire profondément, rappelle-toi que ton calme est plus puissant que les mots. Montre-lui par ton exemple que les émotions peuvent être apaisées. Au début, il n’y arrivera peut-être pas, mais il apprendra en te regardant.

Une fois ton calme intérieur établi, tu peux aller plus loin en adoptant une posture optimiste, capable de transformer chaque défi en opportunité.

Adopte un regard optimiste et orienté solutions

L’optimisme ne signifie pas tout voir en rose. C’est choisir de croire qu’il y a toujours une solution.

Quand ton enfant échoue ou traverse une difficulté, regarde ce qui a fonctionné et dis-lui : « C’était dur, mais tu as persévéré. Que peut-on faire pour t’aider la prochaine fois ? ».

Ton regard transforme sa perception : il cesse de voir l’échec comme une fin pour le considérer comme une étape. Et là, il progresse.

Dans cette vidéo je t’explique comment l’optimisme a été une stratégie majeure pour notre bien-être familial : Enfant atypique : j’ai aidé ma fille avec 3 stratégies infaillibles

L’optimisme ouvre la voie, mais pour nourrir durablement cette dynamique, la gratitude est un outil puissant. Elle change ton regard et celui de ton enfant.

Pratique la gratitude : vois ses forces et ses qualités

Nos enfants entendent souvent ce qui ne va pas. La gratitude, c’est choisir de voir ses forces au quotidien. Chaque soir, prends un moment pour remarquer trois petites choses positives :

  • « Tu as réussi à te calmer plus vite. »
  • « J’ai vu que tu as persévéré avec tes devoirs. »
  • « Tu as été créatif dans ton jeu aujourd’hui. »

Plus tu nourris ce regard, plus ton enfant apprend à voir ses propres qualités.

Enfin, souviens-toi que tu n’es pas seule. L’environnement dans lequel tu évolues influence aussi ton énergie et ta posture intérieure. Entoure-toi des bonnes personnes pour avancer sereinement.

Tourne-toi vers les autres : donne et entoure-toi des bonnes personnes

La loi de l’attraction ne s’arrête pas à ce que tu ressens ou incarnes à l’intérieur : ton environnement compte autant que ton état d’esprit.

Et soyons honnêtes, si tu passes la moitié de ton temps avec tata Claudine, qui t’explique avec son air pincé que « ton enfant est agité parce que tu es trop laxiste » et que « si tu passais moins de temps à travailler et plus de temps à lui courir après, il serait parfait », il y a de fortes chances que ton énergie prenne un sacré coup.

Alors, voici une vérité que j’ai dû apprendre moi-même : tu as le droit de choisir les personnes qui t’entourent. Si certaines relations te laissent avec le moral dans les chaussettes, c’est qu’elles ne vibrent pas sur la même fréquence que toi. Prends du recul. Ce n’est pas égoïste, c’est nécessaire pour avancer avec sérénité.

À l’inverse, entoure-toi de parents qui comprennent ton quotidien, des personnes capables de te dire « Je te vois, tu fais déjà tellement » plutôt que « Moi, à ta place… ». Rejoins des groupes de parents d’enfants atypiques, partage tes réussites et tes difficultés sans peur d’être jugée. Ces échanges t’apporteront de la compréhension, des idées concrètes, et surtout, de l’énergie positive.

N’oublie pas : côtoyer des personnes inspirantes, qui partagent tes valeurs, renforce ton alignement. Et quand toi, tu rayonnes, ton enfant le ressent. À partir d’aujourd’hui, laisse tata Claudine avec ses jugements et tourne-toi vers ceux qui te voient pour ce que tu es vraiment : un parent qui donne le meilleur, chaque jour.

Quand la loi de l’attraction ne fonctionne pas : comment rebondir sans culpabiliser ?

« Je fais tout pour rester calme, mais ça ne marche pas. Qu’est-ce que je fais de travers ? »
Si cette pensée t’a déjà traversé l’esprit, respire. Je suis passée par là aussi. Certains jours, malgré toutes mes bonnes intentions et mes efforts, le chaos reprenait le dessus.

Et je finissais par me dire : « À quoi bon ? ».

La vérité, c’est que la loi de l’attraction ne promet pas la perfection. Elle t’accompagne, elle te guide, mais elle ne te met pas à l’abri des tempêtes. Et c’est normal. Ce qui compte, ce n’est pas d’éviter ces moments difficiles, mais d’apprendre à les accueillir avec bienveillance.

Voici ce qui m’a aidée à traverser ces jours-là sans me laisser submerger.

Accepte que le changement est un chemin, pas une ligne d’arrivée

Quand Melyssa explosait en pleine crise alors que j’avais tout préparé pour que ça se passe bien, je me sentais… impotente. Mais j’ai compris que chaque journée est une graine semée.

Même si aujourd’hui, tout semble échouer, rien n’est perdu. Ton calme, ton regard positif, tes efforts sont là. Ils s’impriment doucement dans ton enfant, même si tu ne le vois pas encore. Parfois, il faut juste laisser le temps faire son œuvre.

💡 Dis-toi simplement : « Aujourd’hui était une étape. Demain, je recommence. »

A lire aussi : Culpabilité parentale : comment transformer tes erreurs en force?

Transforme ces moments en apprentissages

L’échec n’est pas la fin. C’est un signal.

Un soir, après une énième dispute sur les devoirs, je me suis posée cette question : « Qu’est-ce que j’ai raté aujourd’hui ? » Ce n’était pas pour me juger, mais pour comprendre. Peut-être que Melyssa avait faim, qu’elle était fatiguée, ou que je n’avais pas pris le temps d’adapter ma consigne.

Chaque crise cache un message. Au lieu de voir ces moments comme des échecs, transforme-les en opportunités d’ajustement.

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Reviens à toi : prends soin de ton propre calme

Quand rien ne marche, le réflexe, c’est souvent de redoubler d’efforts pour tout gérer. Mais parfois, la meilleure chose à faire, c’est de faire une pause pour toi.

Je me rappelle d’une fois où Melyssa pleurait à s’en étouffer. Je voulais l’aider, mais plus je parlais, plus elle s’énervait. Alors j’ai juste… respiré. Je suis sortie cinq minutes. Une fois calmée, je suis revenue, plus douce, plus présente. Et elle s’est apaisée aussi.

Tu n’as pas à tout contrôler. Prends cinq minutes pour toi. Respire. Bois un thé. Appelle quelqu’un qui te comprend. Parce que ton calme, c’est le plus beau cadeau que tu puisses offrir à ton enfant.

💡 Rappelle-toi : tu n’as pas besoin d’être parfaite, juste d’être présente, avec toute la bienveillance dont tu es capable.

Je te propose cet article pour te donner plein d’idées pour prendre soin de toi : 50 façons de prendre soin de soi

Conclusion

Accompagner un enfant atypique, c’est souvent avancer sur un chemin semé d’incertitudes. Mais souviens-toi : tu as plus de pouvoir que tu ne le crois. La loi de l’attraction n’est pas une recette magique, c’est une boussole intérieure. Chaque pensée alignée, chaque intention clarifiée, chaque geste bienveillant est une graine que tu plantes pour demain.

Imagine-toi comme l’ancre émotionnelle de ton enfant. Si tu cultives le calme, la patience et la gratitude, il apprendra à voir les tempêtes comme des occasions d’avancer, pas des murs insurmontables. Même lorsque les journées déraillent, rappelle-toi que ton état d’esprit est contagieux. Tu es son repère, son modèle, sa lumière.

Alors, aujourd’hui, choisis d’incarner ce que tu veux voir grandir. Transforme un défi en opportunité, une erreur en apprentissage. Crois en toi, crois en lui. Parce que les plus beaux changements commencent par des petits pas répétés avec amour et constance.

Chaque jour est une chance de semer des graines de sérénité et d’optimisme. Et crois-moi, elles finiront par fleurir.

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