
Créer sa chance quand on élève un enfant neuroatypique : les clés d’un mindset gagnant
Pourquoi certains semblent-ils toujours tomber au bon endroit, au bon moment… alors que d’autres enchaînent les obstacles, malgré tous leurs efforts ?
Est-ce une histoire de destin, de « bonne étoile », ou peut-on vraiment apprendre à attirer la chance et provoquer la réussite ?
Quand on élève un enfant neuroatypique, la question résonne souvent encore plus fort. Parce que soyons honnêtes : il y a des jours où tu t’es sûrement déjà demandé « pourquoi nous ? » Face aux crises, aux rendez-vous médicaux, aux nuits écourtées, on pourrait croire que la chance nous a oublié.
Et pourtant.
Il y a ces familles qui, malgré les défis, avancent avec une énergie presque contagieuse. Qui transforment les particularités de leurs enfants en forces uniques. Qui trouvent des ressources là où d’autres n’auraient vu que des blocages.
La bonne nouvelle ? Ce n’est pas de la magie. La chance, ça se cultive. Ça se déclenche. Ça se prépare.
Dans cet article, je vais te montrer comment créer ces conditions favorables qui ouvrent les bonnes portes : état d’esprit, stratégies concrètes, compétences à développer, relations à nourrir…
Parce qu’au final, la chance est rarement un hasard. Elle sourit à ceux qui savent l’apprivoiser.
C’est parti !
- Comment attirer la chance et la réussite ? Les vraies clés pour créer tes propres opportunités
- Qu’est-ce que la chance et comment l’activer au quotidien ?
- Cultiver une mentalité positive et ouverte : la base pour attirer la réussite
- Développer des compétences clés pour transformer les opportunités en réussite
- Créer des relations humaines qui deviennent des tremplins pour la chance
- Conclusion : la chance n’est pas un coup de dé, c’est une posture à cultiver
Comment attirer la chance et la réussite ? Les vraies clés pour créer tes propres opportunités
Soyons clairs.
La chance ne tombe pas du ciel.
Elle ne choisit pas ses favoris au hasard. Ceux qu’on qualifie souvent de « chanceux » ont en réalité une posture bien différente : ils provoquent la rencontre avec l’opportunité.
Quand tu cultives un état d’esprit ouvert, optimiste et actif, tu agrandis ton terrain de jeu.
Tu repères les occasions que d’autres ne voient même pas. Tu oses frapper aux portes. Tu testes, tu ajustes, tu avances. Et peu à peu, cette dynamique finit par ressembler… à de la chance.
Parce qu’au fond, la chance, c’est souvent le croisement entre préparation et opportunité.
C’est aussi une question de compétences :
- savoir observer les signaux faibles,
- t’entourer des bonnes personnes,
- rester lucide et stratégique face aux décisions.
Dans cet article, on va décortiquer ensemble comment cultiver cette posture.
Tu verras que la chance peut s’apprendre, se travailler et surtout devenir un véritable levier, y compris quand tu es parent d’un enfant atypique et que les défis du quotidien semblent parfois te laisser peu de marge.
Mais avant de rentrer dans le concret, posons d’abord la vraie question :
qu’est-ce qu’on appelle exactement « la chance » ?
Qu’est-ce que la chance et comment l’activer au quotidien ?
La chance. Ce mot qu’on utilise souvent quand tout semble nous échapper… ou quand tout semble nous réussir. Mais au fond, c’est quoi exactement ?
Selon le Larousse, la chance, c’est la possibilité qu’un événement heureux se produise. Autrement dit : une opportunité qui tombe bien, au bon moment. Mais est-elle vraiment si aléatoire qu’on le croit ?
En réalité, il y a plusieurs façons de voir la chance :
- pour certains, c’est purement du hasard. Une sorte de tirage au sort de la vie.
- pour d’autres (et c’est là que ça devient intéressant), la chance se construit. Elle serait le fruit de nos choix, de nos actions, de notre capacité à être prêt quand une opportunité passe à notre portée.
- enfin, certains parlent même d’une énergie intérieure, d’un état d’esprit positif qui attire les bonnes choses à nous (coucou la fameuse Loi de l’Attraction).
En fait, peu importe l’étiquette qu’on met dessus : ce qui compte, c’est qu’on a un vrai pouvoir d’action. Plus on cultive une attitude ouverte, plus on se forme, plus on développe notre capacité à repérer les opportunités… et plus « la chance » semble frapper souvent à notre porte.
C’est particulièrement vrai quand on est parent d’enfant neuroatypique : les défis sont là, bien réels, mais chaque ajustement, chaque rencontre, chaque ressource qu’on ose aller chercher devient une micro-chance de transformer le quotidien.
Objets porte-bonheur : que porter pour attirer la chance au quotidien ?
Depuis toujours, les humains cherchent des petits coups de pouce pour attirer la chance. Et parmi ces « coups de pouce », les objets porte-bonheur tiennent une place bien spéciale.
Alors est-ce qu’un simple objet peut vraiment changer le cours des choses ? Pas forcément. Mais ces symboles agissent surtout sur une chose : ton état d’esprit. En portant un objet qui te rassure ou te booste, tu crées une disposition intérieure qui t’aide à oser plus, à voir les opportunités et à avancer avec confiance. C’est là que la magie opère.
Voici quelques porte-bonheur que beaucoup utilisent pour cultiver cette énergie positive :
- Un pendentif trèfle à quatre feuilles : symbole universel de chance et d’ouverture.
- Un bracelet œil de tigre : pour la protection et la force face aux obstacles.
- Une bague en pierre de lune : souvent associée à l’intuition et aux bons choix.
- Un porte-clés fer à cheval : classique indémodable pour porter bonheur.
- Un bracelet rouge tressé : symbole de protection dans plusieurs cultures.
- Un médaillon avec une vieille pièce de monnaie : associé à la prospérité financière.
- Un collier scarabée (symbole égyptien) : force et régénération.
- Un talisman main de Fatima (Hamsa) : protection et chance contre les énergies négatives.
- Un anneau turquoise : associé à la guérison et à la chance depuis des siècles.
- Un bracelet d’améthyste : pierre de sagesse et de clarté d’esprit.
L’essentiel, ce n’est pas l’objet en lui-même, mais l’énergie que tu y mets. En t’entourant de symboles positifs, tu entretiens au quotidien un mindset qui te rend plus attentif aux opportunités. Tu t’aides ainsi à créer ta propre chance, pas à pas.

Et que disent les spécialistes sur la chance?
Les secrets des spécialistes pour provoquer la chance
Richard Wiseman : comment notre mentalité crée la chance
On pourrait croire que la chance est une question de hasard pur. Mais certains chercheurs ont creusé la question… et leurs découvertes changent la donne.
Richard Wiseman, psychologue britannique, a étudié pendant des années les personnes qui se disent « chanceuses ». Et son constat est simple :
La chance n’est pas qu’une coïncidence. C’est un comportement qu’on peut développer.
Selon lui, les personnes chanceuses ont 3 points communs :
Elles savent repérer les opportunités cachées : en étant attentives à leur environnement, elles détectent des pistes que d’autres ne voient pas.
Elles sont ouvertes aux opportunités : elles osent sortir de leur zone de confort, rencontrer du monde, tester de nouvelles expériences.
Elles entretiennent un état d’esprit positif : même face à l’échec, elles cherchent l’apprentissage et gardent confiance.
Philippe Gabilliet : pourquoi la chance s’apprend et se travaille
De son côté, Philippe Gabilliet, professeur à l’ESCP et spécialiste des stratégies mentales de réussite, va encore plus loin :
Pour lui, la chance n’est pas un mystère réservé à quelques élus.
Elle repose sur 4 leviers concrets :
- La capacité à saisir les synchronicités : ces petits hasards qui deviennent des opportunités parce qu’on est attentif et disponible.
- L’audace d’agir, même quand tout n’est pas parfaitement prêt : ceux qui bougent créent davantage d’occasions.
- L’entretien de relations humaines authentiques : le réseau, les échanges sincères et l’entraide créent des ponts vers des opportunités imprévues.
- La résilience face aux échecs : au lieu de s’effondrer après un revers, ils savent rebondir et transformer chaque difficulté en apprentissage.
En clair, la chance n’est pas une loterie, c’est un art de vivre.
Elle appartient à ceux qui bougent, qui restent curieux et qui savent créer des connexions positives autour d’eux.
Cultiver une mentalité positive et ouverte : la base pour attirer la réussite
Préparer son esprit à accueillir la chance : état d’esprit et ouverture au changement
La première clé pour attirer la chance, c’est de préparer le terrain dans ta tête.
Avant même que les opportunités arrivent, c’est ton état d’esprit qui conditionne ta capacité à les voir… et à les saisir.
L’optimisme joue ici un rôle central.
Quand tu choisis de voir les choses sous un angle constructif, tu n’attends plus que « la chance » vienne à toi par magie.
Tu deviens actif : tu restes en éveil, tu repères plus facilement les portes qui s’ouvrent, tu testes, tu ajustes.
Prenons un exemple concret :
Tu postules à un job qui te plaît beaucoup. Et tu n’es pas retenu.
La réaction classique serait de se dire :
« C’est encore la poisse. Ça ne sert à rien, je n’ai pas de chance. »
Mais un optimiste va plutôt se demander :
- Qu’est-ce que j’ai appris de cette expérience ?
- Quelles compétences je peux encore développer ?
- Qui pourrais-je contacter pour mieux préparer le prochain entretien ?
Chaque revers devient une rampe de lancement pour la prochaine opportunité.
C’est exactement cette posture mentale qui, sur la durée, te rend plus « chanceux ».
Parce qu’en étant prêt à apprendre et à t’ajuster en permanence, tu maximises tes chances d’être au bon endroit… au bon moment.
L’optimisme : la vraie clé pour créer ses propres opportunités
C’est simple : les gens qu’on qualifie de « chanceux » ont souvent un point commun…
Ils sont optimistes.
Pas naïfs.
Pas déconnectés de la réalité.
Mais capables de voir dans chaque situation une possibilité de rebondir, de progresser ou de grandir.
Pourquoi l’optimisme crée-t-il plus d’opportunités ?
Parce qu’il modifie ton regard sur ce qui t’arrive :
- Tu repères les ouvertures que d’autres ne voient même pas.
- Tu oses tenter, même si ce n’est pas parfait.
- Tu construis des relations de qualité, car ton énergie attire les bonnes personnes.
- Tu développes une confiance intérieure qui facilite le passage à l’action.
C’est exactement ce que démontre la recherche :
Richard Wiseman a observé que les personnes optimistes ont un « radar à opportunités » plus développé.
Elles sont plus attentives à ce qui se passe autour d’elles, et elles n’ont pas peur d’explorer des pistes nouvelles.
Pour les parents d’enfants neuroatypiques, c’est particulièrement précieux.
Quand ton quotidien est rempli d’imprévus, de diagnostics et de montagnes russes émotionnelles, l’optimisme devient un véritable outil de survie.
Il te permet de voir au-delà des difficultés du moment, de garder confiance en l’avenir de ton enfant, et de rester disponible pour l’accompagner, sans t’épuiser.

La gratitude : le carburant discret de la chance et de la réussite
On en parle souvent comme d’une « belle valeur ». Mais en réalité, la gratitude est bien plus qu’une simple qualité morale. C’est un vrai moteur intérieur. Une énergie qui change ta manière de percevoir le monde… et donc, qui augmente tes chances de succès.
Pourquoi ?
Parce que quand tu es dans la gratitude :
- tu portes ton attention sur ce qui fonctionne déjà,
- tu nourris ton optimisme naturellement,
- tu développes une posture intérieure d’abondance,
- et surtout… tu deviens beaucoup plus réceptif aux nouvelles opportunités.
Les recherches en psychologie positive l’ont bien montré : les personnes qui pratiquent régulièrement la gratitude sont plus heureuses, plus résilientes, et même en meilleure santé. Leur cerveau est entraîné à voir le positif — et donc à créer un terrain fertile pour attirer la chance.
Concrètement, comment faire ?
Rien de magique. Ce sont des petits rituels simples au quotidien :
- noter chaque soir 3 choses positives de la journée (même infimes),
- remercier sincèrement les personnes qui t’entourent,
- savourer consciemment les moments de joie, même brefs,
- se rappeler régulièrement tout le chemin déjà parcouru.
Et dans la parentalité atypique ?
Quand on élève un enfant neuroatypique, ces rituels sont encore plus précieux.
Parce qu’il y aura toujours des obstacles. Mais il y aura aussi ces petits progrès, ces sourires, ces victoires invisibles que seule toi peux vraiment mesurer.
C’est en te reconnectant à ces instants que tu entretiens ton énergie, ta motivation, et ta capacité à accompagner ton enfant avec confiance et bienveillance.

Développer des compétences clés pour transformer les opportunités en réussite
On a souvent tendance à croire que la chance tombe du ciel. Ou qu’elle est réservée à quelques privilégiés. En réalité, beaucoup de « chanceux » sont tout simplement mieux préparés quand l’opportunité frappe à leur porte.
Et cette préparation passe par un travail régulier sur soi.
Cultiver la chance, ce n’est pas attendre. C’est construire des compétences qui te rendent prêt à saisir les occasions quand elles se présentent. Quatre leviers essentiels à développer :
1/ La pensée critique : savoir prendre de bonnes décisions
La chance sourit souvent à ceux qui savent réfléchir avec discernement.
C’est la capacité à :
- analyser une situation sans se laisser emporter par ses émotions,
- poser les bonnes questions avant d’agir,
- identifier les vrais enjeux (et pas seulement les apparences),
- évaluer les risques et les bénéfices de chaque choix.
En cultivant cette posture, tu évites les décisions impulsives. Tu avances avec plus de lucidité, ce qui augmente naturellement tes chances de succès.
2/ La résolution de problèmes : transformer les obstacles en tremplins
Les personnes chanceuses n’ont pas moins de problèmes.
Elles développent surtout une agilité à trouver des solutions. Quand un mur se dresse, elles cherchent la porte, la fenêtre… ou construisent une échelle.
Dans la parentalité atypique, on le vit au quotidien :
trouver des aménagements scolaires, gérer les crises émotionnelles, organiser le quotidien différemment… Cette capacité d’adaptation devient un super-pouvoir qui crée indirectement de nouvelles opportunités.
3/ Le leadership de soi : inspirer confiance et mobiliser autour de soi
Attirer la chance, c’est aussi savoir créer des relations de confiance.
Les personnes optimistes et enthousiastes donnent naturellement envie de collaborer avec elles. Elles suscitent l’engagement, les coups de pouce, les rencontres-clés.
En développant ton propre leadership -que ce soit en famille, au travail ou dans ton cercle relationnel- tu élargis ton cercle d’opportunités.
La chance circule là où il y a du lien.
4/ La gestion du temps : créer de l’espace pour accueillir les opportunités
La chance ne frappe pas toujours quand on est prêt.
Savoir gérer son temps, c’est créer de la disponibilité mentale et logistique pour capter ce qui arrive.
- mieux organiser ses priorités,
- dire non aux distractions inutiles,
- libérer des créneaux pour réfléchir et agir,
- éviter de courir en permanence la tête sous l’eau.
En parentalité atypique, c’est encore plus précieux. Car ton énergie est comptée. Et quand tu libères de l’espace, tu deviens beaucoup plus réceptif aux nouvelles idées, aux solutions créatives, et aux belles surprises qui passent.
Créer des relations humaines qui deviennent des tremplins pour la chance
Il y a une réalité qu’on oublie souvent : les opportunités naissent très souvent des autres. Derrière chaque « coup de chance », il y a presque toujours une rencontre, un échange, un contact au bon moment.
Et c’est encore plus vrai quand on traverse des parcours de vie un peu atypiques, où l’entourage peut faire toute la différence. Des conseils, des encouragements, une mise en relation, un simple mot peuvent parfois tout débloquer.
Apprendre à bien communiquer pour ouvrir des portes
On n’attire pas les bonnes rencontres par hasard. On les attire parce qu’on sait créer autour de soi un climat dans lequel les autres ont envie de partager, de coopérer, de proposer. Et cela commence souvent par des choses toutes simples, mais puissantes :
- savoir écouter vraiment, sans interrompre,
- poser des questions avec sincérité,
- exprimer clairement ce qu’on recherche ou ce qu’on traverse,
- et oser demander conseil sans peur du jugement.
Quand on est parent d’un enfant atypique, ces échanges sont d’autant plus précieux. Parce que parfois, il suffit d’un témoignage, d’un contact avec une autre famille, d’une recommandation d’un pro compétent pour voir apparaître des solutions là où l’on se sentait seul.
Créer des réseaux authentiques qui nourrissent la chance
Le vrai réseau qui attire la chance, ce n’est pas une collection de cartes de visite ou de contacts LinkedIn. C’est un cercle vivant de personnes avec qui tu as créé un vrai lien. Des personnes qui partagent tes valeurs, qui comprennent tes enjeux, et qui seront là, naturellement, le jour où un coup de pouce peut faire la différence.
Concrètement, ça peut vouloir dire :
- rejoindre des groupes de parents d’enfants atypiques,
- s’investir dans des associations, des forums, des cercles d’échanges,
- oser participer aux discussions, même quand on se sent un peu en retrait,
- proposer son aide aux autres, sans forcément attendre un retour immédiat.
Parce que la chance aime les cercles vivants. Plus tu crées de valeur autour de toi, plus tu agrandis naturellement le champ des possibles.
Conclusion : la chance n’est pas un coup de dé, c’est une posture à cultiver
Au fond, attirer la chance et la réussite, ce n’est pas attendre un alignement magique des étoiles. C’est une construction quotidienne, faite de petites décisions, d’ajustements intérieurs et de choix d’action.
Les recherches de Richard Wiseman et Philippe Gabilliet nous rappellent une vérité essentielle : les personnes « chanceuses » sont rarement celles qui comptent uniquement sur le hasard. Elles osent. Elles restent curieuses. Elles créent du mouvement dans leur vie. Elles cultivent des relations sincères et savent se remettre en question avec bienveillance.
La chance sourit à ceux qui avancent avec un optimisme lucide. Ceux qui choisissent de voir les opportunités même dans les obstacles. Ceux qui transforment les échecs en apprentissages et qui restent ouverts à l’imprévu.
Et pour nous, parents d’enfants neuroatypiques, cette posture devient un levier puissant. Car plus on nourrit cette dynamique intérieure, plus on transmet à nos enfants ce regard confiant et audacieux sur la vie.
La chance n’est pas un privilège réservé à quelques-uns. C’est un muscle. Et bonne nouvelle : chaque jour est une occasion de l’entraîner.
Alors ose ouvrir les portes, même quand elles paraissent fermées. Tu seras souvent surpris de voir ce qui t’attend de l’autre côté.
Si cet article t’a parlé, c’est sûrement que tu vis aussi ces moments de fatigue, de tensions, de découragement.
J’ai rassemblé dans un guide gratuit les outils concrets qui m’ont aidée à traverser ça avec ma fille.
Trop de cris, de tensions, de doutes au quotidien ?
Ce guide va t’aider à comprendre ton enfant neuroatypique et à reprendre la main, pas à pas, sans t’épuiser.
Merci pour ce bel article.
Je fais partie de ceux qui croient en la loi de l attraction, qu en étant remplie de gratitude et en développant la résilience et l optimisme, on attire à soi de belles choses…
J ai tjs dit que mon burn out avait été un cadeau (même au moment où je me trouvais au plus mal), parce que je savais qu après le noir jaillit la lumière 😉
Merci Christèle. Effectivement, la loi de l’attraction est très puissante et j’essaie de m’en imprégner chaque jour.
Le sujet de ton blog est original mais très utile ! Merci pour ton partage. 🙂
Merci Emilie.
C’était un plaisir que de lire cet article 🙂 Je suis contente de voir que je mets déjà en place naturellement les bonnes pratiques pour attirer la chance : cahier de gratitudes, pensée positive, etc. Je suis plutôt une adepte de la définition de la chance du point de vue de la loi de l’attraction, mais je pense aussi que certaines situations ne sont pas dû à de la chance, mais le résultat de choix et même de sacrifices parfois 😉
Merci Laura. Effectivement, quand on approfondit la loi de l’attraction et les théories des experts sur la chance, il y a beaucoup de similitudes.
Très intéressant. J avais deja lu dans un bouquin que la chance n est pas lié que au hasard. Effectivement la chance se prépare, se travaill. Et nécessite d être prêt.
Personnellement, je m aide beaucoup de l optimisme et de la gratitude.
Cet article me montre d autres points à travailler. Merci!
Merci beaucoup Stan!
Comme d’habitude, un article très intéressant et riche en pépites. Merci de nous rappeler l’essentiel tout en nous donnant des idées concrètes pour les mettre en oeuvre !
Merci beaucoup Carole.
bravo pour cet article ! et oui, tout comme le positivisme, la confiance en soi, la chance se cultive ! J’aime également beaucoup les écrits issus de physique quantique qui explique que nous attirons ce que nous émettons. Alors en émettant des goods vibes, on récupère des opportunités
Merci pour ce commentaire. On va se pencher sur ces textes de physique quantique.
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