TDAH traitements non medicamenteux

TDAH : les traitements non médicamenteux

Ma fille Melyssa est une mosaïque de particularités : multi-dys, dotée de troubles de l’attention et d’une sensibilité exacerbée. Ces singularités, que l’on nomme neuroatypies, témoignent d’un fonctionnement cérébral distinct. Melyssa est cette étincelle de vie aux yeux scintillants, naviguant au gré de sa mélodie intérieure. Ses neuroatypies, telles des compagnons invisibles, façonnent sa perception unique du monde.

Nous habitons à Madagascar, ce joyau de l’océan Indien, où les neuroatypies de Melyssa se heurtent à l’incompréhension, souvent ignorées, parfois mal interprétées. L’absence de reconnaissance officielle des handicaps invisibles, couplée à un manque de diagnostics et de parcours de soins adaptés, jalonne notre quête de compréhension et d’accompagnement de Melyssa de multiples défis.

Déterminée à ne pas la réduire à une étiquette, je m’efforce de valoriser sa différence, de la laisser s’épanouir selon sa véritable essence. Je suis convaincue que la clé ne réside pas dans une normalisation contrainte de son comportement, mais dans un soutien empreint de bienveillance à l’égard de son individualité.

Cet article se consacre au TDAH, offrant un éclairage sur ce trouble et explorant les traitements non médicamenteux. Face aux obstacles, il est possible de tracer des voies emplies de patience, d’amour et de solutions naturelles, permettant à Melyssa et à d’autres enfants aux profils similaires de s’épanouir dans leur intégralité.

C’est quoi le TDAH?

Un trouble neurologique

Le TDAH, un trouble neurologique, impacte profondément la capacité à rester concentré et à maîtriser son énergie. Ce n’est pas une question de volonté. Il se manifeste généralement avant l’âge de 12 ans. Dans 75 à 80% des cas, la génétique joue un rôle clé, bien que la naissance prématurée, le tabagisme pendant la grossesse, et certaines conditions médicales peuvent aussi contribuer à son développement.

Le TDAH est associé à une transmission défectueuse des signaux entre les neurones, en particulier une diminution des neurotransmetteurs comme la dopamine.

Ce trouble affecte environ 5% des enfants et 2,5% des adultes, avec une disparition dans la moitié des cas à l’âge adulte et une prévalence plus élevée chez les garçons par rapport aux filles chez les enfants. La recherche sur le TDAH chez les adultes est encore insuffisante, en partie à cause d’une idée reçue erronée selon laquelle le trouble ne peut pas surgir à l’âge adulte sans avoir été détecté durant l’enfance.

Le TDAH est la principale cause de consultation en pédopsychiatrie, touchant environ 5% des jeunes. De plus, 70% d’entre eux font face à des troubles d’apprentissage spécifiques, ajoutant une couche supplémentaire de défi à leur parcours éducatif et personnel.

Voici un court-métrage bien illustré pour comprendre le TDAH.

Les symptômes du TDAH

Les symptômes du TDAH peuvent être observés dès l’âge de 6 ans, mais le diagnostic est souvent posé plus tard, entre 8 et 12 ans, lorsque les exigences scolaires et sociales augmentent et que les difficultés deviennent plus apparentes.

Le TDAH est caractérisé par trois principaux symptômes qui doivent persister pendant plus de six mois pour être considérés comme diagnostiques :

  • le déficit de l’attention : il se manifeste par une difficulté à se concentrer sur une tâche unique, une facilité à être distrait, et des problèmes à terminer les tâches.
  • l’hyperactivité motrice : c’est l’incapacité à rester en place, un besoin constant de bouger, et une agitation visible.
  • l’impulsivité : elle se traduit par des actions précipitées sans considération des conséquences. Par exemple, des interruptions dans les conversations, et une tendance à agir de manière inappropriée dans le contexte social.

L’hyperactivité et l’impulsivité sont liées à un défaut d’inhibition. Ce défaut affecte la capacité à filtrer les stimuli environnementaux et internes, comme les pensées et les émotions, entraînant une réactivité excessive et des difficultés à gérer le temps et les tâches.

Il existe trois formes de TDAH : la présentation inattentive, la présentation hyperactive/impulsive, et la présentation combinée.

Un diagnostic complexe

Le processus de diagnostic du TDAH repose sur une évaluation clinique minutieuse, incluant entretiens et observations, mais se complique souvent en présence de troubles d’apprentissage associés. Un diagnostic posé tôt permet de gérer les difficultés associés aux troubles : échec scolaire, comportements à risque, complexités relationnelles, etc.

Pour nous qui habitons à Madagascar, un diagnostic précis est compliqué, car les professionnels spécialisés sont peu nombreux, le parcours de soins inexistant. Aussi, j’ai envie de dire que les prémices du diagnostic peuvent être effectués par le parent lui-même. Je propose d’être dans l’observation sans jugement de son enfant : être dans l’écoute, dans l’observation consciente, sans réactivité. Il s’agit de noter factuellement les comportement débordants. Voici par exemple ce que j’ai noté pour ma fille Melyssa:

  • Difficulté à rester assise, besoin de bouger constamment (au moment de faire les devoirs)
  • Difficulté à attendre son tour dans les conversations : elle interrompt les autres ou parle à des moments inappropriés
  • A du mal à suivre des instructions complexes ou à terminer des tâches qui nécessitent une attention soutenue
  • A des changements d’humeur rapides ou des réactions émotionnelles disproportionnées dans certaines situations
  • A tendance à remettre à plus tard des tâches (procrastination)

Nous avons confronté ces notes aux différentes informations trouvées dans les fédérations et associations sur le TDAH. Donc sans diagnostic clinique, nous avons pu déjà mieux comprendre notre fille et être moins en « réaction » par rapport à ses comportements débordants.

Le traitement du TDAH peut souvent faire appel à des médicaments psychostimulants, comme la Ritaline, qui augmentent la disponibilité de neurotransmetteurs tels que la dopamine, améliorant la concentration et la gestion des impulsions. Cependant, comme mentionné précédemment, nous avons choisi de ne pas emprunter cette voie pour notre fille. Déjà parce que nous n’avons pas de diagnostic officiel, mais aussi parce que nos aménagements (à l’école et à la maison), ont amené de nettes améliorations. Enfin, nous sommes contre la médication : nous souhaitons adopter des accompagnements les plus naturels possibles.

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Les idées fausses sur le TDAH

Un problème d’éducation

« C’est juste une question d’éducation. Si tu étais plus strict, ton enfant se comporterait mieux. »

« Peut-être que si tu passais plus de temps avec lui, il se comporterait mieux. »

Ces remarque suggèrent à tort que le TDAH est le résultat d’une discipline insuffisante ou d’une mauvaise éducation. Le TDAH en lui-même n’est pas directement associé à l’agressivité ou à une tendance à la contradiction. Cependant, les jeunes atteints de TDAH présentent un risque plus élevé de rencontrer des défis comportementaux, tels que la désobéissance, la tendance à la révolte, l’impulsivité. Ces difficultés sont souvent en lien avec le TDAH et la manière dont il est géré.

Le TDAH et l’intelligence

« Il ne semble pas intelligent « 

« Elle a l’air distraite tout le temps. Penses-tu qu’elle puisse vraiment apprendre quelque chose? »

Les enfants souffrant de TDAH sont significativement plus susceptibles de faire face à des obstacles dans leur parcours éducatif. Cela explique pourquoi leurs performances académiques sont souvent inférieures à ce que l’on pourrait anticiper en se basant sur leur potentiel intellectuel.

Il est donc irréaliste d’espérer des résultats supérieurs tant que les défis posés par les symptômes du TDAH persistent, car ces derniers constituent de véritables entraves à l’apprentissage et à la réussite scolaire.

Le TDAH et les écrans

« Il est accro aux écrans parce qu’il a un TDAH. Tu devrais poser de meilleures limites « 

Bien que les écrans puissent affecter l’attention et la concentration, ils ne sont pas directement liés au TDAH. De plus, le TDAH n’est pas le résultat d’une carence parentale ou d’un manque d’effort de la part de l’enfant.

La présence d’hyperactivité

Dans son intervention à l’Assemblée Nationale intitulée « État de Santé », Charlotte Van Derdriguez, psychiatre spécialiste du TDAH, souligne l’importance de reconnaître que l’hyperactivité n’est pas toujours présente dans le TDAH, mais que l’inattention est un symptôme constant.

Un simple déficit d’attention

Ariane Hébert, psychologue et fondatrice de la Boîte à Psy, souligne que le TDAH est souvent compris comme un simple déficit d’attention. En réalité, ce trouble concerne davantage la régulation de l’attention. Les individus peuvent se concentrer intensément sur des activités qu’ils aiment, mais ont du mal à maintenir cette concentration dans d’autres contextes.

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Comorbidités associées au TDAH

Les 10 caractéristiques positives du TDAH

Selon Luc Marc Tranchard, psychologue clinicien, le TDAH, recèle en réalité une multitude de talents et de qualités uniques. Une très bonne nouvelle pour nous parents d’enfants atypiques. En voici quelques unes:

  • Créativité débordante : Les personnes avec un TDAH possèdent souvent une créativité artistique et une originalité dans leurs idées, leur permettant de proposer des solutions innovantes aux problèmes.
  • Hyperfocus : Contrairement à l’idée reçue, les personnes avec un TDAH peuvent se concentrer intensément sur des sujets qui les passionnent.
  • Pensée ingénieuse : Leur capacité à faire des associations d’idées originales et inventives est remarquable.
  • Générosité et empathie : Malgré leur impulsivité, les personnes avec un TDAH sont souvent bienveillantes et gentilles.
  • Résilience : Vivre avec un TDAH n’est pas facile, mais cela enseigne à surmonter les obstacles et à adopter de nouvelles stratégies.
  • Prise de risques : L’impulsivité peut mener à une grande capacité à prendre des risques, ce qui peut conduire à des réalisations extraordinaires.
  • Persévérance : Lorsqu’elles sont passionnées, elles ne s’arrêtent pas et continuent d’explorer et de créer.
  • Courage : elles montrent une grande force pour traverser les épreuves.
  • Sens de la justice : Sensibles aux besoins des autres, les personnes avec un TDAH sont prêtes à aider ceux qui en ont besoin.
  • Humour : L’autodérision est souvent utilisée pour faire face aux situations difficiles et pour renforcer les liens sociaux.

Ma fille Melyssa se distingue particulièrement par rapport au dernier point. Elle a un sens de l’humour très particulier : elle se moque d’elle-même et de ses propres insuffisances ou échecs, souvent de manière exagérée, pour amuser les autres.

Interventions comportementales et psychoéducatives

Les interventions comportementales et psychoéducatives jouent un rôle crucial dans la prise en charge du Trouble Déficit de l’Attention/Hyperactivité (TDAH), en se concentrant sur la modification des comportements et en fournissant une éducation approfondie aux patients et à leur entourage. Ces traitements visent à améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de TDAH et de leurs familles en adoptant une approche holistique et personnalisée.

Thérapies Comportementales et Cognitives (TCC)

Au cœur de ces interventions se trouvent les thérapies comportementales et cognitives (TCC), qui ciblent les schémas de pensée et de comportement négatifs. En modifiant ces schémas, les TCC aident les individus à développer des stratégies plus saines pour gérer leurs symptômes.

Thérapies familiales

Parallèlement, les thérapies familiales, y compris la guidance parentale, jouent un rôle essentiel. Ces approches visent à améliorer les interactions familiales et à équiper les parents de stratégies efficaces pour mieux gérer les comportements liés au TDAH, renforçant ainsi le tissu familial.

Une petite mention pour la guidance parentale en Résistance Non Violente (RNV) de l’association React. Basé sur le calme et le silence, la méthode de cette association permet de désamorcer les comportements débordants et parfois violents. Les enfants HPI, TSA et TDAH sont particulièrement concernés.

Psychoéducation

Les groupes de psychoéducation offrent un espace vital pour l’apprentissage et la discussion autour du TDAH, permettant une meilleure compréhension et gestion du trouble. Ces groupes encouragent le partage d’expériences et offrent un soutien mutuel, essentiel pour naviguer les défis du TDAH.

Méthode Barclay

La méthode Barclay repose sur l’idée que les interactions entre les parents et leurs enfants peuvent soit exacerber soit prévenir les comportements problématiques. Elle vise à développer les connaissances des parents sur le TDAH, à rétablir des interactions positives au sein de la famille, et à renforcer les comportements adaptatifs chez l’enfant à travers le renforcement positif plutôt que la punition.

La méthode est structurée en modules séquentiels pour aider les parents à comprendre les défis spécifiques associés à ces troubles. Quelques exemples:

  • Psychoéducation : Comprendre le TDAH
  • Renforcement positif : Encourager les comportements adaptatifs en renforçant positivement les actions souhaitables de l’enfant.
  • Moment spécial : Passer du temps de qualité avec l’enfant pour renforcer les liens et la communication.
  • Formulation efficace des consignes : Communiquer clairement les attentes et les limites.
  • Attention aux comportements non perturbateurs : Reconnaître et valoriser les moments où l’enfant se comporte bien.
  • Tableau des récompenses : Utiliser un système de points pour encourager les comportements positifs.
  • Gestion des crises : Appliquer des stratégies pour gérer efficacement les crises comportementales.
  • Aide aux devoirs : Mettre en place des stratégies pour faciliter les devoirs à la maison.
  • Sorties dans les lieux publics : Préparer et gérer les sorties pour éviter les comportements problématiques.

Thérapies spécifiques et approches complémentaires

Dans la prise en charge du Trouble Déficit de l’Attention/Hyperactivité (TDAH), les thérapies spécifiques et les approches complémentaires jouent un rôle essentiel, offrant des stratégies diversifiées pour répondre aux besoins variés des individus affectés. Ces méthodes, allant de la rééducation en orthophonie à des techniques innovantes comme le neurofeedback, enrichissent l’éventail des interventions disponibles, permettant une approche plus personnalisée et globale du traitement.

Rééducation en orthophonie

La rééducation en orthophonie se révèle particulièrement utile pour les enfants atteints de TDAH qui rencontrent également des troubles d’apprentissage, notamment des difficultés de langage. L’orthophonie vise à améliorer les compétences linguistiques, telles que la compréhension et l’expression verbale, essentielles tant dans le cadre scolaire que dans les interactions sociales. En ciblant ces compétences, l’orthophonie contribue à réduire les obstacles à l’apprentissage et à favoriser une meilleure intégration sociale.

Ma fille Melyssa a eu la chance de faire plusieurs séances vraiment enrichissantes avec une orthophoniste passionnée et patiente.

Rééducation en psychomotricité

La rééducation en psychomotricité, quant à elle, se concentre sur l’amélioration de la coordination et du contrôle moteur. Ces aspects sont souvent problématiques chez les enfants avec TDAH, affectant leur capacité à participer à des activités quotidiennes et scolaires. La psychomotricité aide à renforcer l’autonomie de l’enfant et à améliorer son estime de soi, contribuant ainsi à une meilleure qualité de vie.

Neurofeedback

Le neurofeedback est une méthode avant-gardiste qui entraîne les individus à modifier leur activité cérébrale. Utilisée pour améliorer la concentration et réduire l’hyperactivité ainsi que l’impulsivité, cette technique repose sur le principe de la biofeedback cérébral. En permettant aux individus de visualiser en temps réel leur activité cérébrale, le neurofeedback les aide à apprendre à contrôler et à moduler leurs propres schémas cérébraux, offrant ainsi une voie prometteuse pour la gestion des symptômes du TDAH. En 2 minutes, tu comprendras plus facilement ici les apports du neurofeedback.

Sophroplogie

C’est une technique de relaxation profonde, qui se base sur des exercices de respiration, de détente musculaire et de visualisation positive. Pour les personnes atteintes de TDAH, elle offre des outils précieux pour mieux gérer le stress, l’anxiété et les émotions fluctuantes. En améliorant la concentration et en favorisant un meilleur sommeil, la sophrologie contribue à une approche holistique du bien-être, essentielle dans la gestion du TDAH.

Hypnose

Dans le contexte du TDAH, elle peut être particulièrement efficace pour améliorer la gestion de l’attention, réduire l’impulsivité et l’hyperactivité, et aborder des problématiques associées telles que la faible estime de soi. En travaillant sur ces aspects, l’hypnothérapie offre une voie de soutien complémentaire, enrichissant le spectre des interventions disponibles. Voici un webinaire complet sur les apports de l’hypnose pour le TDAH.

Applications

Voici deux applications qui ont particulièrement reçu des avis positifs dans les forums :

Lusha

C’est une application qui est sous forme de jeu pour les enfants avec TDAH, et un outil pour les parents. Elle facilite l’acquisition de routines et simplifie le quotidien des enfants. Elle améliore sa capacité à appréhender ses émotions et à les communiquer

Coco pense et coco bouge

Coco propose un ensemble de plus de 30 jeux pédagogiques conçus pour stimuler les capacités cognitives, incluant l’attention, la mémoire, le langage, et l’organisation, parmi d’autres. Pour s’ajuster au mieux aux aptitudes variées des enfants, chaque jeu est disponible en trois niveaux de complexité.

A lire aussi : L’art thérapie pour les enfants atypiques

Conclusion

Dans le voyage complexe et coloré de Melyssa à travers les défis et les triomphes liés à ses neuroatypies, nous avons exploré les multiples facettes du TDAH, un trouble neurologique souvent mal compris. À travers les symptômes, les diagnostics complexes, et les idées fausses courantes, nous avons dévoilé une perspective plus nuancée et empathique du TDAH, soulignant l’importance cruciale d’une approche éducative et thérapeutique adaptée.

Les interventions comportementales et psychoéducatives, enrichies par des thérapies spécifiques et des approches complémentaires, offrent un éventail de possibilités pour soutenir Melyssa et d’autres enfants comme elle. En adoptant des stratégies telles que la rééducation en orthophonie, en psychomotricité, le neurofeedback, la sophrologie, l’hypnose, et l’utilisation d’applications dédiées, nous ouvrons la porte à des solutions personnalisées qui respectent et valorisent l’individualité de chaque enfant.

Au-delà des étiquettes et des diagnostics, n’oublie pas qu’il y a une personne unique, pleine de potentiel et d’espoir. En choisissant d’embrasser et de soutenir cette individualité, nous pouvons aider Melyssa et les enfants atypiques comme elle à s’épanouir pleinement.

Découvre notre article sur le TDAH et les relations sociales ici.

Commentaires

  1. Stan B

    Merci pour cet article très complet sur le TDAH. J’en avais souvent entendu parler, mais sans tout comprendre. Tes descriptions très précises sur le TDAH, sa définition, ses symptômes, la vie au quotidien d’un enfant atteint de TDAH.
    J’ignorai aussi qu’il existait autant de variété pour la thérapie avec les différentes interventions comportementales et psychoéducatives.
    Je vois d’un autre œil le TDAH. Merci

  2. Christine

    Merci pour cet article. Mon fils étant enfant avait été repéré et étiqueté comme TDHA. Nous dûmes à la demande des professeurs montrer patte blanche et l’emmener chez un neuropsychiatre qui lui donna un traitement avec malheureusement beaucoup d’effets secondaires. Nous avons décidé d’arrêter ce traitement et l’hypnose et la psychomotricité l’ont bien aidé mais je ne me suis pas du tout sentie soutenue dans cette démarche à l’époque. J’espère que les parents sont mieux informés maintenant sur les différentes aides possibles.

    1. Je compatis. Merci beaucoup pour ton témoignage personnel sur les effets secondaires des traitements médicamenteux. J’espère sincèrement qu’il va beaucoup mieux maintenant.

  3. Caroline

    En tant que parent, ça fait du bien de voir qu’il y a plein de pistes à explorer, du neurofeedback aux thérapies comportementales. C’est top de mettre en avant les points forts de nos kids neuroatypiques et de voir qu’il y a de l’espoir et plein de solutions pour les aider à s’épanouir. Merci pour ces infos super utiles 🙂 !

  4. Jeanne OO

    C’est un véritable guide que tu proposes à travers cet article. On en apprend davantage sur les symptômes du TDAH, les idées reçues associées, et les différentes approches non médicamenteuses pour accompagner ces merveilleux enfants atteints de ce trouble. J’avais entendu parler et lu au sujet du programme Barkley qui semble être une méthode intéressante pour soutenir les parents et leur apporter des outils dans leur quotidien. Merci pour ton article complet.

  5. Dominique

    Waouh ton article est un trésor de ressource !
    Je suis praticienne en hypnose et j’accompagne de temps à autre des enfants ainsi que leurs parents. Je ne connaissais pas l’existence de ce webinaire. Lorsque le temps sera de mon côté, j’irai y jeter un oeil

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